Chacun possède des superpouvoirs dont il ne se sert pas : le pouvoir de diriger sa vie, d´aimer et d´être aimé, d´être heureux et vivant plutôt que frustré, prisonnier de modèles imposés. Mais le plus souvent, notre éducation, les événements de la vie nous laissent penser que le bonheur n´est pas pour nous. Certains s´accommodent des blessures du passé et s´organisent pour que la douleur soit supportable. D´autres la nient en privilégiant les signes extérieurs de réussite. Tous, nous avons le choix d´identifier nos blessures, d´affronter la souffrance, de faire le tri pour nous ouvrir le champ des possibles et dégager une énergie nouvelle, celle d´être enfin soi-même. Aller voir un psy, c´est reconnaître ses superpouvoirs et apprendre à s´en servir. Il ne s´agit ni de « se faire des noeuds » au cerveau pour le plaisir, ni de ressasser le passé, mais de relever un défi dans l´agitation incessante du monde : celui d´instaurer en nous un état de paix et de clairvoyance.
Chacun possède des superpouvoirs dont il ne se sert pas : le pouvoir de diriger sa vie, d´aimer et d´être aimé, d´être heureux et vivant plutôt que frustré, prisonnier de modèles imposés. Mais le plus souvent, notre éducation, les événements de la vie nous laissent penser que le bonheur n´est pas pour nous. Certains s´accommodent des blessures du passé et s´organisent pour que la douleur soit supportable. D´autres la nient en privilégiant les signes extérieurs de réussite. Tous, nous avons le choix d´identifier nos blessures, d´affronter la souffrance, de faire le tri pour nous ouvrir le champ des possibles et dégager une énergie nouvelle, celle d´être enfin soi-même. Aller voir un psy, c´est reconnaître ses superpouvoirs et apprendre à s´en servir. Il ne s´agit ni de « se faire des noeuds » au cerveau pour le plaisir, ni de ressasser le passé, mais de relever un défi dans l´agitation incessante du monde : celui d´instaurer en nous un état de paix et de clairvoyance.