L’inestimable cadeau de Stanislav Grof à la communauté humaine, à la médecine, à la psychologie, aux différents mouvements religieux, est celui d’une confiance retrouvée dans le processus spontané de guérison du corps et de la psyché. Les conflits non résolus, la rétention des forces de vie cherchant à s’exprimer par l’émotion ou le mouvement corporel, sont pour lui la source de toutes les maladies.
Tout comportement humain, fût-il intolérable pour la communauté et nécessitant d’être cadré, a sa raison d’être à des niveaux du psychisme qu’il n’est désormais plus possible de limiter à l’histoire personnelle et à l’inconscient freudien, mais qu’il nous faut étendre au domaine périnatal et au domaine transpersonnel de l’inconscient.
Le changement du monde commence par soi-même, l’écologie se fait d’abord à l’intérieur, et les états de conscience modifiés, nommés par Grof «holotropiques», semblent bien être un moyen privilégié d’y accéder si nous voulons vraiment la paix du monde.
L’inestimable cadeau de Stanislav Grof à la communauté humaine, à la médecine, à la psychologie, aux différents mouvements religieux, est celui d’une confiance retrouvée dans le processus spontané de guérison du corps et de la psyché. Les conflits non résolus, la rétention des forces de vie cherchant à s’exprimer par l’émotion ou le mouvement corporel, sont pour lui la source de toutes les maladies.
Tout comportement humain, fût-il intolérable pour la communauté et nécessitant d’être cadré, a sa raison d’être à des niveaux du psychisme qu’il n’est désormais plus possible de limiter à l’histoire personnelle et à l’inconscient freudien, mais qu’il nous faut étendre au domaine périnatal et au domaine transpersonnel de l’inconscient.
Le changement du monde commence par soi-même, l’écologie se fait d’abord à l’intérieur, et les états de conscience modifiés, nommés par Grof «holotropiques», semblent bien être un moyen privilégié d’y accéder si nous voulons vraiment la paix du monde.