La nourriture, dans l’hindouisme, a des qualités propres – équilibre et pureté (qualité sattva) ; énergie, force, passion et désir (qualité rajas) ou encore inaction et lourdeur (qualité tamas) – qui influencent non seulement le corps mais aussi l’esprit. Elle a, en ce sens, un impact jugé puissant sur la santé. En Inde, se nourrir est aussi un acte social ritualisé et un outil d’expression des sentiments. La joie, l’amour, les fêtes profanes ou religieuses, la naissance, le décès : tout se manifeste à travers la nourriture.
Pour Pankaj Sharma, comme pour chaque Indien, cuisiner c’est entretenir ce lien sacré, intime et social à la nourriture. En réunissant dans cet ouvrage 60 recettes végétariennes indiennes traditionnelles, elle nous fait partager son attachement à sa culture et à ses croyances, tout en démontrant que la cuisine indienne peut être à la portée de tous et adaptée à nos vies et nos palais d’Occidentaux. Les recettes, classées suivant les différents éléments qui constituent un repas – les classiques entrée/plat/dessert, mais aussi les laitages avec le paneer et leghee, les boissons, les pains, les chutneys et pickles –, sont émaillées de récits personnels de Pankaj, évoquant les liens entre la nourriture et le divin, ou les rituels traditionnels qui lui sont chers.
La nourriture, dans l’hindouisme, a des qualités propres – équilibre et pureté (qualité sattva) ; énergie, force, passion et désir (qualité rajas) ou encore inaction et lourdeur (qualité tamas) – qui influencent non seulement le corps mais aussi l’esprit. Elle a, en ce sens, un impact jugé puissant sur la santé. En Inde, se nourrir est aussi un acte social ritualisé et un outil d’expression des sentiments. La joie, l’amour, les fêtes profanes ou religieuses, la naissance, le décès : tout se manifeste à travers la nourriture.
Pour Pankaj Sharma, comme pour chaque Indien, cuisiner c’est entretenir ce lien sacré, intime et social à la nourriture. En réunissant dans cet ouvrage 60 recettes végétariennes indiennes traditionnelles, elle nous fait partager son attachement à sa culture et à ses croyances, tout en démontrant que la cuisine indienne peut être à la portée de tous et adaptée à nos vies et nos palais d’Occidentaux. Les recettes, classées suivant les différents éléments qui constituent un repas – les classiques entrée/plat/dessert, mais aussi les laitages avec le paneer et leghee, les boissons, les pains, les chutneys et pickles –, sont émaillées de récits personnels de Pankaj, évoquant les liens entre la nourriture et le divin, ou les rituels traditionnels qui lui sont chers.