Le débat sur les OGM reste ouvert pour le grand public. D’une part, les  cultures de ce type s’étendent aux États-Unis ou en Chine. D’autre part,  en Europe, il existe un moratoire de fait comme en France ou de droit  comme en Suisse. Qui a raison ? Ceux qui les utilisent pour accroître le  rendement de leurs cultures ou bien ceux qui les refusent de peur de  courir des risques. Quels sont ces risques ?
Cet ouvrage commence par  exposer les faits. Comment l’évolution des espèces se produit dans la  Nature. Et comment elle est utilisée dans les OGM. Quels sont les buts  de cette technique agricole, telle qu’elle est actuellement mise en  œuvre par quelques firmes agroalimentaires et ce qu’elle pourrait  devenir si elle était contrôlée en vue du bien public ?
Chaque  chapitre comporte en premier lieu un exposé objectif des faits et,  ensuite, une discussion entre les deux auteurs dont les opinions  divergent sur certains points : Philippe Roch défend le contre et  Jacques Neirynck le pour. Le lecteur a de la sorte une possibilité de se  forger une opinion indépendante.
Dans leur conclusion commune, les  deux auteurs s’accordent à proposer que cette recherche agronomique soit  contrôlée par une agence internationale, tout comme le nucléaire. Ils  sont d’avis que la recherche doit se poursuivre et que l’exploitation  des OGM doit être acceptée en l’entourant d’une grande vigilance, plutôt  que de l’affliger d’un moratoire.

Le débat sur les OGM reste ouvert pour le grand public. D’une part, les  cultures de ce type s’étendent aux États-Unis ou en Chine. D’autre part,  en Europe, il existe un moratoire de fait comme en France ou de droit  comme en Suisse. Qui a raison ? Ceux qui les utilisent pour accroître le  rendement de leurs cultures ou bien ceux qui les refusent de peur de  courir des risques. Quels sont ces risques ?
Cet ouvrage commence par  exposer les faits. Comment l’évolution des espèces se produit dans la  Nature. Et comment elle est utilisée dans les OGM. Quels sont les buts  de cette technique agricole, telle qu’elle est actuellement mise en  œuvre par quelques firmes agroalimentaires et ce qu’elle pourrait  devenir si elle était contrôlée en vue du bien public ?
Chaque  chapitre comporte en premier lieu un exposé objectif des faits et,  ensuite, une discussion entre les deux auteurs dont les opinions  divergent sur certains points : Philippe Roch défend le contre et  Jacques Neirynck le pour. Le lecteur a de la sorte une possibilité de se  forger une opinion indépendante.
Dans leur conclusion commune, les  deux auteurs s’accordent à proposer que cette recherche agronomique soit  contrôlée par une agence internationale, tout comme le nucléaire. Ils  sont d’avis que la recherche doit se poursuivre et que l’exploitation  des OGM doit être acceptée en l’entourant d’une grande vigilance, plutôt  que de l’affliger d’un moratoire.
