Ma Anandamoyi est un des plus grands maîtres spirituels de l’Inde du XXe siècle.
Elle enseigne l’absolue Unité de l’univers. Pour elle, il n’y a qu’UN où TOUT a sa place.
Les paroles choisies par Jean-Claude Marol traduisent la joie permanente qui habitait cette sage décédée en 1982.
Ma Anandamoyi se disait aussi bien hindouiste, musulmane ou chrétienne. Ici, ce sont des paroles presque zen.
Des milliers de personnes de toutes appartenances (ou sans appartenance) religieuses ont été bouleversés par cette femme qui parle de paix intérieure et de conscience cosmique.
Pour elle, le but unique de la vie humaine est de « réaliser Dieu » à la fois en soi, dans l’univers et dans l’absolu. « Dieu est mon propre moi » écrit-elle. Pour y parvenir l’homme doit dépasser le mental, rejeter l’ego, détruire les attachements. Et cela peut se faire aussi bien en vivant dans le monde qu’en se retirant.
Les façons de dire de Ma étaient vives, rieuses. De succulents moments de sa vie où l’humour a une large place sont condensés en quelques récits pour clore ce livre.
En face de nous, Ma est un miroir de notre Être vrai, elle nous fait découvrir des potentialités qui sont en nous.
« Il faut lire et relire ces textes, ces anecdotes, qui portent en eux plus que toutes les dissertations philosophico-religieuses du monde… »
« Un hommage-vérité à celle qui sut incarner dans sa vie l’unité transcendante des religions »
Ma Anandamoyi est un des plus grands maîtres spirituels de l’Inde du XXe siècle.
Elle enseigne l’absolue Unité de l’univers. Pour elle, il n’y a qu’UN où TOUT a sa place.
Les paroles choisies par Jean-Claude Marol traduisent la joie permanente qui habitait cette sage décédée en 1982.
Ma Anandamoyi se disait aussi bien hindouiste, musulmane ou chrétienne. Ici, ce sont des paroles presque zen.
Des milliers de personnes de toutes appartenances (ou sans appartenance) religieuses ont été bouleversés par cette femme qui parle de paix intérieure et de conscience cosmique.
Pour elle, le but unique de la vie humaine est de « réaliser Dieu » à la fois en soi, dans l’univers et dans l’absolu. « Dieu est mon propre moi » écrit-elle. Pour y parvenir l’homme doit dépasser le mental, rejeter l’ego, détruire les attachements. Et cela peut se faire aussi bien en vivant dans le monde qu’en se retirant.
Les façons de dire de Ma étaient vives, rieuses. De succulents moments de sa vie où l’humour a une large place sont condensés en quelques récits pour clore ce livre.
En face de nous, Ma est un miroir de notre Être vrai, elle nous fait découvrir des potentialités qui sont en nous.
« Il faut lire et relire ces textes, ces anecdotes, qui portent en eux plus que toutes les dissertations philosophico-religieuses du monde… »
« Un hommage-vérité à celle qui sut incarner dans sa vie l’unité transcendante des religions »