Le roi Shikhidhvaja et son épouse Tchoudâlâ vivaient un parfait amour. Ils formaient un être unique, “ils était unis comme la fleur et son parfum.”
Mais un jour, tous deux se posèrent une grave question : “ Y aurait-il ici-bas quelque chose de stable qu’on puisse atteindre sans que jamais plus le coeur ne se consume dans les épreuves de la vie ?”
Les deux époux devinrent alors des chercheurs de vérité. La reine Tchoudâlâ connut une Illumination spontanée, que seule trahissait son rayonnement intérieur. Le roi, son époux, opta pour la vie solitaire d’un ascète, au fin fond des forêts, et ce fut un échec.
La reine Tchoudâlâ eut alors recours à un subterfuge : elle prit l’apparence d’un splendide jeune homme, fils des dieux, et vint instruire son époux, sans qu’il la reconnaisse, et le roi put accéder à la vérité de l’Absolu.
Le roi Shikhidhvaja et son épouse Tchoudâlâ vivaient un parfait amour. Ils formaient un être unique, “ils était unis comme la fleur et son parfum.”
Mais un jour, tous deux se posèrent une grave question : “ Y aurait-il ici-bas quelque chose de stable qu’on puisse atteindre sans que jamais plus le coeur ne se consume dans les épreuves de la vie ?”
Les deux époux devinrent alors des chercheurs de vérité. La reine Tchoudâlâ connut une Illumination spontanée, que seule trahissait son rayonnement intérieur. Le roi, son époux, opta pour la vie solitaire d’un ascète, au fin fond des forêts, et ce fut un échec.
La reine Tchoudâlâ eut alors recours à un subterfuge : elle prit l’apparence d’un splendide jeune homme, fils des dieux, et vint instruire son époux, sans qu’il la reconnaisse, et le roi put accéder à la vérité de l’Absolu.