
		Stratégies  politiques réseaux entre mythes et réalités. Une  autre issue était-elle possible à l’opposition trois fois séculaire  entre l’Eglise catholique et la franc-maçonnerie ? L’enjeu est de taille  et a fait rêver les historiens autant que les protagonistes tant  politiques que religieux. Le décor paraît simple à planter, il a le  Royaume-Uni pour centre et l’Europe comme champ d’affrontement, d’un  côté les Stuarts catholiques vaincus dont les partisans ont essaimé dans  toute l’Europe et restent nombreux en Angleterre même, de l’autre les  Hanovriens sur le trône favorisant le développement de l’ordre. Y a-t-il  eu prise de pouvoir dans des Loges stuartistes ? Michel Duchein analyse  la situation politique générale ; Michael Collis le cas de la  Scandinavie ; Jean-Marie Mercier le mythe d’une maçonnerie avignonnaise  catholique ; Jose Antonio Ferrer Benimelli s’attache aux Loges  madrilènes et romaines ; Steve Murdoch à la Russie et Pierre-Yves  Beaurepaire au cercle du duc de Chaulnes à Paris. Les conclusions  convergent : Hanovriens et Stuartistes étaient confondus dans les Loges  anglaises à l’étranger, la nation était bien l’ultima ratio et les passages d’un camp  à l’autre fréquents. Deux  études, de Valéry Rasplus sur les origines de la maçonnerie et de  Jean-Yves Camus et Stéphane François sur Miguel Serrano, complètent ce  24e numéro.

Stratégies  politiques réseaux entre mythes et réalités. Une  autre issue était-elle possible à l’opposition trois fois séculaire  entre l’Eglise catholique et la franc-maçonnerie ? L’enjeu est de taille  et a fait rêver les historiens autant que les protagonistes tant  politiques que religieux. Le décor paraît simple à planter, il a le  Royaume-Uni pour centre et l’Europe comme champ d’affrontement, d’un  côté les Stuarts catholiques vaincus dont les partisans ont essaimé dans  toute l’Europe et restent nombreux en Angleterre même, de l’autre les  Hanovriens sur le trône favorisant le développement de l’ordre. Y a-t-il  eu prise de pouvoir dans des Loges stuartistes ? Michel Duchein analyse  la situation politique générale ; Michael Collis le cas de la  Scandinavie ; Jean-Marie Mercier le mythe d’une maçonnerie avignonnaise  catholique ; Jose Antonio Ferrer Benimelli s’attache aux Loges  madrilènes et romaines ; Steve Murdoch à la Russie et Pierre-Yves  Beaurepaire au cercle du duc de Chaulnes à Paris. Les conclusions  convergent : Hanovriens et Stuartistes étaient confondus dans les Loges  anglaises à l’étranger, la nation était bien l’ultima ratio et les passages d’un camp  à l’autre fréquents. Deux  études, de Valéry Rasplus sur les origines de la maçonnerie et de  Jean-Yves Camus et Stéphane François sur Miguel Serrano, complètent ce  24e numéro.
