Parmi les monuments les plus célèbres au monde, le Mont Saint-Michel n’en demeure-t-il pas cependant un des plus méconnus ?
Après avoir écrit des romans dont la renommée dépasse celle de leur auteur – et dont certains ont été adaptés avec succès pour le cinéma ou la télévision (Le Bossu, Lagardère, Les Habits noirs) – Paul Féval fit également oeuvre d’historien. C’est après sa conversion, qui lui donna le goût du vrai, qu’il écrivit Les Merveilles du Mont Saint-Michel, ouvrage oublié jusqu’à la présente édition, puisqu’aucune bibliographie disponible sur internet ne le mentionne.
En historien scrupuleux, ayant eu accès aux manuscrits et aux archives (détruits depuis lors dans le bombardement de Saint-Lô en 1944), il déroule sous nos yeux les siècles qui ont vu s’édifier la Merveille de l’Occident, depuis l’apparition de l’Archange à saint Aubert en 709, jusqu’au XIXe siècle (l’ouvrage parut pour la première fois en 1879).
Mais pour être vraie, l’histoire doit être catholique, disait le cardinal Pie. Et c’est bien là la spécificité de cet ouvrage. Paul Féval n’élude en aucune manière la dimension surnaturelle de l’histoire du Mont qui en fit le paratonnerre spirituel de la France. A chaque époque, depuis l’installation des premiers moines, l’Archange protège la France des mille périls qui la menacent, en particulier contre le grand ennemi anglais, jusqu’à la venue de sainte Jeanne d’Arc qu’il avait instruite, et à qui il permet de sauver et la France et le Mont.
Les miracles façonnent l’histoire du Mont Saint-Michel, et les ignorer aurait été mentir.
Et c’est à un nouveau miracle que cet ouvrage appelle : l’intervention de l’ange protecteur de la France pour la sauver des nouveaux périls…
Parmi les monuments les plus célèbres au monde, le Mont Saint-Michel n’en demeure-t-il pas cependant un des plus méconnus ?
Après avoir écrit des romans dont la renommée dépasse celle de leur auteur – et dont certains ont été adaptés avec succès pour le cinéma ou la télévision (Le Bossu, Lagardère, Les Habits noirs) – Paul Féval fit également oeuvre d’historien. C’est après sa conversion, qui lui donna le goût du vrai, qu’il écrivit Les Merveilles du Mont Saint-Michel, ouvrage oublié jusqu’à la présente édition, puisqu’aucune bibliographie disponible sur internet ne le mentionne.
En historien scrupuleux, ayant eu accès aux manuscrits et aux archives (détruits depuis lors dans le bombardement de Saint-Lô en 1944), il déroule sous nos yeux les siècles qui ont vu s’édifier la Merveille de l’Occident, depuis l’apparition de l’Archange à saint Aubert en 709, jusqu’au XIXe siècle (l’ouvrage parut pour la première fois en 1879).
Mais pour être vraie, l’histoire doit être catholique, disait le cardinal Pie. Et c’est bien là la spécificité de cet ouvrage. Paul Féval n’élude en aucune manière la dimension surnaturelle de l’histoire du Mont qui en fit le paratonnerre spirituel de la France. A chaque époque, depuis l’installation des premiers moines, l’Archange protège la France des mille périls qui la menacent, en particulier contre le grand ennemi anglais, jusqu’à la venue de sainte Jeanne d’Arc qu’il avait instruite, et à qui il permet de sauver et la France et le Mont.
Les miracles façonnent l’histoire du Mont Saint-Michel, et les ignorer aurait été mentir.
Et c’est à un nouveau miracle que cet ouvrage appelle : l’intervention de l’ange protecteur de la France pour la sauver des nouveaux périls…