Le prolétariat, affirme Jacques Ellul, n’a pas été un produit du seul capitalisme, mais bien de la société industrielle elle-même. Ainsi, la révolution soviétique, la «voie chinoise», tout comme l’évolution du tiers monde, aboutissent à la création d’un immense prolétariat mondial. Toutes les révolutions ont échoué, en cédant à la fatalité industrielle et technicienne du capitalisme qu’elles entendaient combattre. Et pourtant, au début des années 80, la première vraie révolution semble devenir possible. Pour quelles raisons? À quelles conditions? Sommes-nous encore capables d’une véritable espérance révolutionnaire?
Le prolétariat, affirme Jacques Ellul, n’a pas été un produit du seul capitalisme, mais bien de la société industrielle elle-même. Ainsi, la révolution soviétique, la «voie chinoise», tout comme l’évolution du tiers monde, aboutissent à la création d’un immense prolétariat mondial. Toutes les révolutions ont échoué, en cédant à la fatalité industrielle et technicienne du capitalisme qu’elles entendaient combattre. Et pourtant, au début des années 80, la première vraie révolution semble devenir possible. Pour quelles raisons? À quelles conditions? Sommes-nous encore capables d’une véritable espérance révolutionnaire?