« L’esclave grec accomplissait son travail sous la contrainte d’un maître, le travailleur d’aujourd’hui le fait sous la contrainte du salaire, mais dans l’avenir, il n’y aura plus que la liberté du travail. Le travail et le salaire seront deux choses totalement séparées. C’est ce qui assurera la santé des rapports sociaux à l’avenir. Vous pouvez déjà le voir aujourd’hui. »
Rudolf Steiner, Berlin,1905
Dans ce livre, Peter Selg décrit et commente les déclarations que Rudolf Steiner fit au début du 20e siècle à propos du travail et du salaire dans le cadre de son action pour la réforme du système social. À l’époque, ces idées littéralement « révolutionnaires » ne furent pas comprises. Aujourd’hui, elles apportent une clé précieuse pour redonner au travail humain toute sa dignité. Il s’agit que l’on cesse de traiter le travail humain comme une marchandise que l’on peut acheter et vendre, et que l’on découvre sa véritable nature : un don que chacun fait aux autres, en toute liberté.
« Tant que chacun ne pourra pas trouver, à partir de ses impulsions les plus profondes, ce qui l’incite à agir, tant que chacun ne sera pas en mesure de travailler par amour pour autrui, il ne sera pas possible de créer des impulsions justes pour une évolution du futur qui aille dans le sens du bonheur des hommes ».
Rudolf Steiner, Berlin et le début du 20e siècle
La formulation de la « loi sociale fondamentale » en 1905
La proposition de tri-articulation de l’organisme social en 1919
L’individu et la communauté
« L’esclave grec accomplissait son travail sous la contrainte d’un maître, le travailleur d’aujourd’hui le fait sous la contrainte du salaire, mais dans l’avenir, il n’y aura plus que la liberté du travail. Le travail et le salaire seront deux choses totalement séparées. C’est ce qui assurera la santé des rapports sociaux à l’avenir. Vous pouvez déjà le voir aujourd’hui. »
Rudolf Steiner, Berlin,1905
Dans ce livre, Peter Selg décrit et commente les déclarations que Rudolf Steiner fit au début du 20e siècle à propos du travail et du salaire dans le cadre de son action pour la réforme du système social. À l’époque, ces idées littéralement « révolutionnaires » ne furent pas comprises. Aujourd’hui, elles apportent une clé précieuse pour redonner au travail humain toute sa dignité. Il s’agit que l’on cesse de traiter le travail humain comme une marchandise que l’on peut acheter et vendre, et que l’on découvre sa véritable nature : un don que chacun fait aux autres, en toute liberté.
« Tant que chacun ne pourra pas trouver, à partir de ses impulsions les plus profondes, ce qui l’incite à agir, tant que chacun ne sera pas en mesure de travailler par amour pour autrui, il ne sera pas possible de créer des impulsions justes pour une évolution du futur qui aille dans le sens du bonheur des hommes ».
Rudolf Steiner, Berlin et le début du 20e siècle
La formulation de la « loi sociale fondamentale » en 1905
La proposition de tri-articulation de l’organisme social en 1919
L’individu et la communauté