J’ai fait un rêve, dit le Grand Oublié Divin, j’ai vu en songe la scène suivante : les représentants des peuples de la Terre se constituaient en Assemblée internationale et considéraient que l’ignorance, l’oubli ou le mépris des Droits de Dieu étaient les principales causes des malheurs publics et de la corruption des moeurs et des gouvernements.
Lesdits représentants décidaient d’exposer dans un texte solennel les droits naturels et surnaturels, inaliénables et sacrés du Souverain des mondes. Cette déclaration, constamment présente à l’esprit de tous les membres du corps international, devait leur rappeler sans cesse leurs devoirs à l’égard de la divinité. En conséquence, l’Assemblée internationale des peuples de la Terre reconnaissait et déclarait, sous les auspices de l’Etre suprême, Ses droits imprescriptibles, en complément des droits de l’Homme, ce futur citoyen des cieux.
Comme il est écrit dans un article de la Déclaration d’indépendance des Etats-Unis : « tous les hommes sont créés égaux, doués par leur Créateur de certains droits inaliénables parmi lesquels se trouvent la vie, la liberté et la recherche du bonheur ». La recherche du bonheur : quelle belle expression et comme elle est rare dans les textes sacrés que l’on attribue à Dieu ! Et si la recherche du bonheur était tout simplement la recherche de la lumière divine ? Voici donc, mise en forme pour la première fois, la Déclaration Universelle des Droits de Dieu.
Comme la « Déclaration des droits de l’Homme » dont il s’inspire, ce texte comporte 17 articles.
J’ai fait un rêve, dit le Grand Oublié Divin, j’ai vu en songe la scène suivante : les représentants des peuples de la Terre se constituaient en Assemblée internationale et considéraient que l’ignorance, l’oubli ou le mépris des Droits de Dieu étaient les principales causes des malheurs publics et de la corruption des moeurs et des gouvernements.
Lesdits représentants décidaient d’exposer dans un texte solennel les droits naturels et surnaturels, inaliénables et sacrés du Souverain des mondes. Cette déclaration, constamment présente à l’esprit de tous les membres du corps international, devait leur rappeler sans cesse leurs devoirs à l’égard de la divinité. En conséquence, l’Assemblée internationale des peuples de la Terre reconnaissait et déclarait, sous les auspices de l’Etre suprême, Ses droits imprescriptibles, en complément des droits de l’Homme, ce futur citoyen des cieux.
Comme il est écrit dans un article de la Déclaration d’indépendance des Etats-Unis : « tous les hommes sont créés égaux, doués par leur Créateur de certains droits inaliénables parmi lesquels se trouvent la vie, la liberté et la recherche du bonheur ». La recherche du bonheur : quelle belle expression et comme elle est rare dans les textes sacrés que l’on attribue à Dieu ! Et si la recherche du bonheur était tout simplement la recherche de la lumière divine ? Voici donc, mise en forme pour la première fois, la Déclaration Universelle des Droits de Dieu.
Comme la « Déclaration des droits de l’Homme » dont il s’inspire, ce texte comporte 17 articles.