Louis-Claude de Saint-Martin (1743-1803) découvre la théurgie cérémonielle de Martinez de Pasqually (1710?- 1774) en 1765 à Bordeaux.
En 1771 il devient son secrétaire particulier, et c’est sous son impulsion que Martinez de Pasqually travaillera d’arrache-pied à la rédaction des rituels des divers grades, des différents catéchismes et le traité de la réintégration des êtres voit le jour. C’est sous la dictée du Maître que Saint-Martin le rédige sans en changer un mot ce qui explique le style confus et abscons de cette oeuvre (Martinez de Pasqually ne connaissait qu’imparfaitement notre langue). Malheureusement, la mort du Maître en 1774 interrompt sa rédaction, il ne sera jamais achevé.
Martinez de Pasqually ayant disparu, peu à peu l’ordre des élus cohens se mit à péricliter ; Saint-Martin intériorise la théurgie cérémonielle et choisit ce que Papus appellera plus tard la « voie cardiaque ». Il découvre en 1788 l’oeuvre de Jacob Boehme (1575-1624) dont il traduisit plusieurs ouvrages, approfondit la « doctrine de la Sagesse Divine » et n’aura de cesse de rapprocher l’enseignement de Martinez de Pasqually avec la doctrine du « Maître cordonnier ».
Louis-Claude de Saint-Martin (1743-1803) découvre la théurgie cérémonielle de Martinez de Pasqually (1710?- 1774) en 1765 à Bordeaux.
En 1771 il devient son secrétaire particulier, et c’est sous son impulsion que Martinez de Pasqually travaillera d’arrache-pied à la rédaction des rituels des divers grades, des différents catéchismes et le traité de la réintégration des êtres voit le jour. C’est sous la dictée du Maître que Saint-Martin le rédige sans en changer un mot ce qui explique le style confus et abscons de cette oeuvre (Martinez de Pasqually ne connaissait qu’imparfaitement notre langue). Malheureusement, la mort du Maître en 1774 interrompt sa rédaction, il ne sera jamais achevé.
Martinez de Pasqually ayant disparu, peu à peu l’ordre des élus cohens se mit à péricliter ; Saint-Martin intériorise la théurgie cérémonielle et choisit ce que Papus appellera plus tard la « voie cardiaque ». Il découvre en 1788 l’oeuvre de Jacob Boehme (1575-1624) dont il traduisit plusieurs ouvrages, approfondit la « doctrine de la Sagesse Divine » et n’aura de cesse de rapprocher l’enseignement de Martinez de Pasqually avec la doctrine du « Maître cordonnier ».