Le Shodoka, ou "Chant de l’immédiat satori", est l’un des textes essentiels du Zen. Composé de 78 poèmes, il a été écrit au VIIIe siècle par le maître chinois Yoka Daishi. Moine à vingt ans, ce dernier se consacra à l’étude des différentes formes du bouddhisme et de la pensée taoïste et confucéenne. Mais le doute demeura en lui jusqu’à sa rencontre avec Houeï Neng, le sixième Patriarche, qui lui transmet en une nuit l’essence du Ch’an, le vrai esprit du Zen. S’il a eu de nombreux disciples, sa lignée ne s’est pas poursuivie : son seul legs à l’humanité sera le Shodoka, ce chant qui, par sa fraîcheur et sa force, reste formidablement actuel.
Maître Taisen Deshimaru, par sa traduction et ses commentaires, nous en livre enfin la sagesse universelle et nous invite à emprunter son chemin spirituel.
Le Shodoka, ou "Chant de l’immédiat satori", est l’un des textes essentiels du Zen. Composé de 78 poèmes, il a été écrit au VIIIe siècle par le maître chinois Yoka Daishi. Moine à vingt ans, ce dernier se consacra à l’étude des différentes formes du bouddhisme et de la pensée taoïste et confucéenne. Mais le doute demeura en lui jusqu’à sa rencontre avec Houeï Neng, le sixième Patriarche, qui lui transmet en une nuit l’essence du Ch’an, le vrai esprit du Zen. S’il a eu de nombreux disciples, sa lignée ne s’est pas poursuivie : son seul legs à l’humanité sera le Shodoka, ce chant qui, par sa fraîcheur et sa force, reste formidablement actuel.
Maître Taisen Deshimaru, par sa traduction et ses commentaires, nous en livre enfin la sagesse universelle et nous invite à emprunter son chemin spirituel.