« À la fois sereine et exaltée, la poésie des grands classiques chinois nous traverse d’un souffle vertigineux. On la découvre une fois : on ne s’en remet pas. Il y a en elle une exigence d’impossible, une façon de nous dérouter pour nous ramener infailliblement au juste chemin : la poésie comme flux vital, entrée en collision, découverte du cœur inconnu. »
Zeno Bianu, auteur d’une riche œuvre poétique et théâtrale, et Patrick Carré, traducteur orientaliste de renom, nous ont offert il y a trente ans une superbe anthologie, La Montagne vide. Avec cette nouvelle collaboration, ils nous emmènent à la découverte des plus grands poètes chinois : un parcours onirique à travers près d’un millénaire (IIIe-IXe) qui constitue une authentique initiation à la vision taoïste du monde et à son potentiel révolutionnaire.
« À la fois sereine et exaltée, la poésie des grands classiques chinois nous traverse d’un souffle vertigineux. On la découvre une fois : on ne s’en remet pas. Il y a en elle une exigence d’impossible, une façon de nous dérouter pour nous ramener infailliblement au juste chemin : la poésie comme flux vital, entrée en collision, découverte du cœur inconnu. »
Zeno Bianu, auteur d’une riche œuvre poétique et théâtrale, et Patrick Carré, traducteur orientaliste de renom, nous ont offert il y a trente ans une superbe anthologie, La Montagne vide. Avec cette nouvelle collaboration, ils nous emmènent à la découverte des plus grands poètes chinois : un parcours onirique à travers près d’un millénaire (IIIe-IXe) qui constitue une authentique initiation à la vision taoïste du monde et à son potentiel révolutionnaire.