Ne devrait-on pas s´étonner de trouver dans nos églises chrétiennes autant de saints céphalophores, dont certains n´ont même jamais existé ?
Tous, nous montre Pierre Gordon, sont bien, à la suite des dieux païens, les héritiers de personnages sacrés et grands initiateurs des premières théocraties paléolithiques et néolithiques.
S´appuyant sur une solide érudition, l´auteur analyse un grand nombre de rites qui ont perduré à travers le monde et seraient, selon lui, à l´origine des mythes, et non l´inverse comme on le pense bien souvent. Car, nous dit-il, "les traditions ne mentent pas, fixées depuis des millénaires sur le roc de la liturgie". Le grand rite de mort et de résurrection serait ainsi l´apanage de cette grande Eglise théocratique de l´Age d´Or qui transmit la Tradition Primordiale.
En cela, ce nouvel inédit s´inscrit bien dans l´ensemble de l´oeuvre de ce grand préhistorien des religions, grâce à laquelle "une voie possible vers la Vérité nous est ouverte".
Ne devrait-on pas s´étonner de trouver dans nos églises chrétiennes autant de saints céphalophores, dont certains n´ont même jamais existé ?
Tous, nous montre Pierre Gordon, sont bien, à la suite des dieux païens, les héritiers de personnages sacrés et grands initiateurs des premières théocraties paléolithiques et néolithiques.
S´appuyant sur une solide érudition, l´auteur analyse un grand nombre de rites qui ont perduré à travers le monde et seraient, selon lui, à l´origine des mythes, et non l´inverse comme on le pense bien souvent. Car, nous dit-il, "les traditions ne mentent pas, fixées depuis des millénaires sur le roc de la liturgie". Le grand rite de mort et de résurrection serait ainsi l´apanage de cette grande Eglise théocratique de l´Age d´Or qui transmit la Tradition Primordiale.
En cela, ce nouvel inédit s´inscrit bien dans l´ensemble de l´oeuvre de ce grand préhistorien des religions, grâce à laquelle "une voie possible vers la Vérité nous est ouverte".