
		On sait que l’astrologie s’est beaucoup appauvrie dès le XVIIe  siècle en  abandonnant ses fondements astronomiques. Elle est de nos jours  généralement  tronquée d’une bonne moitié de sa substance, celle liée au mouvement de  la  sphère (mouvement diurne). 
 Dans Le Ciel en mouvement, Danièle Jay réagit contre ce triste état de  fait et  milite pour que l’astrologie retrouve son intégralité et sa vigueur.  L’auteur  aborde avec sa clarté habituelle la vision astrologique ancienne, tout  en  expliquant un certain nombre de calculs, simples, comme par exemple  celui de la  DA (différence ascensionnelle), de la DH (distance horaire) ou du «  degré de  passage ». La DH notamment, clé 
 indispensable, permet de repérer immédiatement dans un thème donné la  véritable  position en maison des planètes, des Parts, des étoiles (qui ne sont pas  nécessairement,  dans la sphère locale, là où l’on croit qu’elles sont), leurs aspects  dans le  monde (plus puissants que leurs aspects dans le zodiaque, 
 seuls connus de la plupart des astrologues), leurs Directions. L’étude  d’une  nativité, celle de Pétrarque, illustrera tous ces développements au fil  des  chapitres.
 Giuseppe Bezza le souligne à juste titre dans sa préface, l’intérêt de  ce livre  est de renouer avec les éléments perdus de l’astrologie classique (le  dernier  ouvrage de ce type remonte à 1535). Vous découvrirez 
 ainsi d’autres horizons, essentiels, qui ne pourront qu’enrichir votre  compréhension d’un thème.
 
 L’auteur, Danièle Jay, s’est fait connaître par un premier ouvrage, « La   pratique des Directions primaires » publié en I993 par les éditions du  Cédra,  suivi par « Ciels et destins » (Dervy, 2000) et « Couples mythiques »  (Dervy,  2002), qui ont approfondi l’étude des Directions.

On sait que l’astrologie s’est beaucoup appauvrie dès le XVIIe  siècle en  abandonnant ses fondements astronomiques. Elle est de nos jours  généralement  tronquée d’une bonne moitié de sa substance, celle liée au mouvement de  la  sphère (mouvement diurne). 
 Dans Le Ciel en mouvement, Danièle Jay réagit contre ce triste état de  fait et  milite pour que l’astrologie retrouve son intégralité et sa vigueur.  L’auteur  aborde avec sa clarté habituelle la vision astrologique ancienne, tout  en  expliquant un certain nombre de calculs, simples, comme par exemple  celui de la  DA (différence ascensionnelle), de la DH (distance horaire) ou du «  degré de  passage ». La DH notamment, clé 
 indispensable, permet de repérer immédiatement dans un thème donné la  véritable  position en maison des planètes, des Parts, des étoiles (qui ne sont pas  nécessairement,  dans la sphère locale, là où l’on croit qu’elles sont), leurs aspects  dans le  monde (plus puissants que leurs aspects dans le zodiaque, 
 seuls connus de la plupart des astrologues), leurs Directions. L’étude  d’une  nativité, celle de Pétrarque, illustrera tous ces développements au fil  des  chapitres.
 Giuseppe Bezza le souligne à juste titre dans sa préface, l’intérêt de  ce livre  est de renouer avec les éléments perdus de l’astrologie classique (le  dernier  ouvrage de ce type remonte à 1535). Vous découvrirez 
 ainsi d’autres horizons, essentiels, qui ne pourront qu’enrichir votre  compréhension d’un thème.
 
 L’auteur, Danièle Jay, s’est fait connaître par un premier ouvrage, « La   pratique des Directions primaires » publié en I993 par les éditions du  Cédra,  suivi par « Ciels et destins » (Dervy, 2000) et « Couples mythiques »  (Dervy,  2002), qui ont approfondi l’étude des Directions.
