Coming-out signifie « dévoilement ». Le coming-out est le fait d’afficher en public ce que l’on est, ou ce que l’on pense tout bas, sans oser en parler de peur du rejet. Le terme est surtout utilisé par rapport à ses préférences sexuelles.
Dans ce livre, Laurence Baranski applique le coming out aux domaines spirituel, ésotérique et mystique. Sans tabou, elle dévoile ce que nous sommes nombreux à penser, ressentir, et expérimenter, sans oser l’exprimer publiquement. En effet, nous sommes nombreux à nous questionner sur le sens, la conscience, la vie et l’esprit. Nous sommes nombreux à penser et ressentir que la vérité est ailleurs, au-delà du voile de matérialité qui obscurcit l’horizon.
Trop souvent encore, nous ne parlons de nos perceptions qu’en petits comité avertis, à voix basse, presque en cachette. Comme le souligne l’auteure : « Pourquoi cacher la vie, les questions qu’elle nous pose, et les expériences sensibles qu’elle nous invite à faire ? Rien ne justifie ce silence, cette gêne. D’autant plus qu’au-delà de ces expériences, de ces nouvelles compréhensions et des hypothèses qui en découlent, des champs entiers de recherche s’ouvrent, de la médecine à l’énergie, de l’éducation à l’alimentation, des droits humains aux grands projets de société. »
Coming-out signifie « dévoilement ». Le coming-out est le fait d’afficher en public ce que l’on est, ou ce que l’on pense tout bas, sans oser en parler de peur du rejet. Le terme est surtout utilisé par rapport à ses préférences sexuelles.
Dans ce livre, Laurence Baranski applique le coming out aux domaines spirituel, ésotérique et mystique. Sans tabou, elle dévoile ce que nous sommes nombreux à penser, ressentir, et expérimenter, sans oser l’exprimer publiquement. En effet, nous sommes nombreux à nous questionner sur le sens, la conscience, la vie et l’esprit. Nous sommes nombreux à penser et ressentir que la vérité est ailleurs, au-delà du voile de matérialité qui obscurcit l’horizon.
Trop souvent encore, nous ne parlons de nos perceptions qu’en petits comité avertis, à voix basse, presque en cachette. Comme le souligne l’auteure : « Pourquoi cacher la vie, les questions qu’elle nous pose, et les expériences sensibles qu’elle nous invite à faire ? Rien ne justifie ce silence, cette gêne. D’autant plus qu’au-delà de ces expériences, de ces nouvelles compréhensions et des hypothèses qui en découlent, des champs entiers de recherche s’ouvrent, de la médecine à l’énergie, de l’éducation à l’alimentation, des droits humains aux grands projets de société. »