
		On  nomme loges bleues, les ateliers de base de la Franc-maçonnerie pour  les distinguer des ateliers de perfectionnement, autrement appelés hauts  grades, qui ne sont pas au-dessus de la maçonnerie bleue, mais peuvent  venir en complément des ateliers aux trois degrés, d’apprentis, de  compagnons et de maîtres.
Jean Verdun est un  maçon des loges bleues. Il est un défenseur, et l’a toujours été, de la  fameuse maxime « Le grade de maître se suffit à lui-même ».
Cette  maxime exprime la conviction que chacune et chacun, avec le grade de  maître, peut mener une très riche et complète vie maçonnique sans se  laisser tenter par d’autres grades. En France, mais aussi dans bien  d’autres pays, deux tiers des francs-maçons ne connaissent que les loges  bleues.

On  nomme loges bleues, les ateliers de base de la Franc-maçonnerie pour  les distinguer des ateliers de perfectionnement, autrement appelés hauts  grades, qui ne sont pas au-dessus de la maçonnerie bleue, mais peuvent  venir en complément des ateliers aux trois degrés, d’apprentis, de  compagnons et de maîtres.
Jean Verdun est un  maçon des loges bleues. Il est un défenseur, et l’a toujours été, de la  fameuse maxime « Le grade de maître se suffit à lui-même ».
Cette  maxime exprime la conviction que chacune et chacun, avec le grade de  maître, peut mener une très riche et complète vie maçonnique sans se  laisser tenter par d’autres grades. En France, mais aussi dans bien  d’autres pays, deux tiers des francs-maçons ne connaissent que les loges  bleues.
