Si la fonction sacerdotale est première, elle reste corrélée pour Martinès de Pasqually à la fonction chevaleresque. Les qualités requises pour le combat, en particulier l’éthique chevaleresque, sont indispensables à la pratique du culte. Le corpus martinésiste n’est pas toujours pacifiste. S’il est question de paix, c’est de la paix du Christ, non de celle de l’homme. "
Rémi Boyer - Préface au Grand Manuscrit d’Alger – Tome 2
Dans le cadre des recherches martinésiennes très approfondies menées par Georges Courts depuis tant et tant d’années, une des choses les plus importantes, sinon la plus importante était pour lui - en toute hâte - de prendre son temps pour parachever une œuvre tout à fait considérable entièrement vouée à la connaissance opérative des formes nommées par Martinès de Pasqually. Avec ce tome deuxième, l’auteur nous convie maintenant à considérer avec la plus grande attention que l’entrée de plain-pied dans le palais fermé du Roi - autrement dit dans les infrastructures ignées prônées par Martinès - s’appréhende avec une volonté sans faille et une foi indestructible envers l’œuvre des Élus Coëns.
La connaissance a un coût, le chemin de la réintégration aussi, et pour certains imprudents un peu trop pressés le prix à payer est parfois hors de prix. En termes d’opérativité, le moindre faux-pas amènera sans aucun doute le cherchant indiscipliné dans un val sans retour. Autant dire que les savantes mises en garde de l’auteur de ce second volume sont dès lors à appréhender par le lecteur avec la plus grande lucidité et surtout en pleine connaissance de cause. Il est peu de dire que le Tome I du Grand Manuscrit d’Alger de Georges Courts jeta à sa sortie, en 2009, un lourd pavé bleuté dans le pré carré des petits marquis désireux d’arpenter seuls une aire « spirituelle » qu’il s’agissait pour eux de confondre d’écoles en chapelles et de chapelles en réceptacles à initiations.
Pour nous, ici - enfin - avec éclats, Georges Courts ouvre à tous portes et fenêtres et laisse pénétrer la Lumière indifférenciée pour tout un chacun qui se retrouve à arpenter le Sentier, seul ou accompagné, mais jamais démuni de courage. C’est l’essentiel.
Si la fonction sacerdotale est première, elle reste corrélée pour Martinès de Pasqually à la fonction chevaleresque. Les qualités requises pour le combat, en particulier l’éthique chevaleresque, sont indispensables à la pratique du culte. Le corpus martinésiste n’est pas toujours pacifiste. S’il est question de paix, c’est de la paix du Christ, non de celle de l’homme. "
Rémi Boyer - Préface au Grand Manuscrit d’Alger – Tome 2
Dans le cadre des recherches martinésiennes très approfondies menées par Georges Courts depuis tant et tant d’années, une des choses les plus importantes, sinon la plus importante était pour lui - en toute hâte - de prendre son temps pour parachever une œuvre tout à fait considérable entièrement vouée à la connaissance opérative des formes nommées par Martinès de Pasqually. Avec ce tome deuxième, l’auteur nous convie maintenant à considérer avec la plus grande attention que l’entrée de plain-pied dans le palais fermé du Roi - autrement dit dans les infrastructures ignées prônées par Martinès - s’appréhende avec une volonté sans faille et une foi indestructible envers l’œuvre des Élus Coëns.
La connaissance a un coût, le chemin de la réintégration aussi, et pour certains imprudents un peu trop pressés le prix à payer est parfois hors de prix. En termes d’opérativité, le moindre faux-pas amènera sans aucun doute le cherchant indiscipliné dans un val sans retour. Autant dire que les savantes mises en garde de l’auteur de ce second volume sont dès lors à appréhender par le lecteur avec la plus grande lucidité et surtout en pleine connaissance de cause. Il est peu de dire que le Tome I du Grand Manuscrit d’Alger de Georges Courts jeta à sa sortie, en 2009, un lourd pavé bleuté dans le pré carré des petits marquis désireux d’arpenter seuls une aire « spirituelle » qu’il s’agissait pour eux de confondre d’écoles en chapelles et de chapelles en réceptacles à initiations.
Pour nous, ici - enfin - avec éclats, Georges Courts ouvre à tous portes et fenêtres et laisse pénétrer la Lumière indifférenciée pour tout un chacun qui se retrouve à arpenter le Sentier, seul ou accompagné, mais jamais démuni de courage. C’est l’essentiel.