Des enfants naissent chaque jour, sur tous les continents et dans tous les coins du monde. Ils voient « la lumière du monde » et respirent de façon autonome, ils sont là sans crier gare, après des mois d’attente, et pourtant immédiats, « nouveaux », nouveau-nés, dans leur dénuement, leur besoin d’aide, et aussi le miracle de leur être propre, individuel. Car il est évident que les « nouveaux-nés » arrivent sur terre avec une dignité toute personnelle, et que l’on rencontre en eux un Je individuel. À la lumière de ce fait indéniable, nous devons nous demander d’où viennent les enfants, d’où viennent leurs âmes, et aucun réductionnisme scientifique, aucun paradigme de la génétique, aussi puissante que soit leur autorité, n’ont jamais pu étouffer cette question.
Des enfants naissent chaque jour, sur tous les continents et dans tous les coins du monde. Ils voient « la lumière du monde » et respirent de façon autonome, ils sont là sans crier gare, après des mois d’attente, et pourtant immédiats, « nouveaux », nouveau-nés, dans leur dénuement, leur besoin d’aide, et aussi le miracle de leur être propre, individuel. Car il est évident que les « nouveaux-nés » arrivent sur terre avec une dignité toute personnelle, et que l’on rencontre en eux un Je individuel. À la lumière de ce fait indéniable, nous devons nous demander d’où viennent les enfants, d’où viennent leurs âmes, et aucun réductionnisme scientifique, aucun paradigme de la génétique, aussi puissante que soit leur autorité, n’ont jamais pu étouffer cette question.