Même si la parole d’un Maître spirituel peut être contenue dans des livres, les livres de papier lui paraîtront toujours insuffisants. Il est lui-même un livre vivant et il a besoin que ses disciples deviennent aussi des livres vivants. C’est sur eux d’abord qu’il écrit, c’est dans leur tête et dans leur cœur qu’il dépose les semences de son Enseignement, avec l’espoir qu’elles iront un jour fructifier partout dans le monde. Ainsi, le Maître a écrit un livre que personne d’autre que lui n’aurait pu écrire : moi. Oui, je suis un livre qu’il a écrit.
La terre est si éloignée du soleil ! Mais la distance n’empêche pas le soleil d’écrire sur la terre, et cette écriture, ce sont les pierres, les plantes, les animaux, les humains, auxquels il donne sa lumière, sa chaleur et sa vie. Comme le soleil, le Maître écrivait sur moi à distance. Ce sont des milliers et des milliers de pages qu’il a écrites et qui sont maintenant résumées dans ce livre que je suis. Et puis un jour, il m’a dit : « Maintenant, tu es prêt, tu peux partir ».
Omraam Mikhaël Aïvanhov
Table des matières
I L’émerveillement d’une rencontre
II Un prophète face aux Églises
III Dans la clarté du monde spirituel
IV On m’appelait l’éternel étudiant
V Izgrev, à Sofia
VI Les premiers enseignements de la montagne : le Vitocha
VII Que signifie avoir un Maître?
VIII Maîtres et disciples tissent ensemble les fils de la vie
IX Des énigmes à déchiffrer
X À Tˇarnovo
XI « Continue à travailler dans les trois mondes »
XII « Où les hommes vivent en frères »
XIII L’été, dans les montagnes de Rila
XIV Au royaume de la nature vivante
XV Dans le fourneau alchimique
XVI « Tu es construit pour travailler avec les femmes »
XVII « Je possède une pierre précieuse d’une valeur inestimable »
Même si la parole d’un Maître spirituel peut être contenue dans des livres, les livres de papier lui paraîtront toujours insuffisants. Il est lui-même un livre vivant et il a besoin que ses disciples deviennent aussi des livres vivants. C’est sur eux d’abord qu’il écrit, c’est dans leur tête et dans leur cœur qu’il dépose les semences de son Enseignement, avec l’espoir qu’elles iront un jour fructifier partout dans le monde. Ainsi, le Maître a écrit un livre que personne d’autre que lui n’aurait pu écrire : moi. Oui, je suis un livre qu’il a écrit.
La terre est si éloignée du soleil ! Mais la distance n’empêche pas le soleil d’écrire sur la terre, et cette écriture, ce sont les pierres, les plantes, les animaux, les humains, auxquels il donne sa lumière, sa chaleur et sa vie. Comme le soleil, le Maître écrivait sur moi à distance. Ce sont des milliers et des milliers de pages qu’il a écrites et qui sont maintenant résumées dans ce livre que je suis. Et puis un jour, il m’a dit : « Maintenant, tu es prêt, tu peux partir ».
Omraam Mikhaël Aïvanhov
Table des matières
I L’émerveillement d’une rencontre
II Un prophète face aux Églises
III Dans la clarté du monde spirituel
IV On m’appelait l’éternel étudiant
V Izgrev, à Sofia
VI Les premiers enseignements de la montagne : le Vitocha
VII Que signifie avoir un Maître?
VIII Maîtres et disciples tissent ensemble les fils de la vie
IX Des énigmes à déchiffrer
X À Tˇarnovo
XI « Continue à travailler dans les trois mondes »
XII « Où les hommes vivent en frères »
XIII L’été, dans les montagnes de Rila
XIV Au royaume de la nature vivante
XV Dans le fourneau alchimique
XVI « Tu es construit pour travailler avec les femmes »
XVII « Je possède une pierre précieuse d’une valeur inestimable »