En Occident, on a tendance à opposer la vie à la mort, ce qui est lourd de conséquences car si la mort est synonyme de non-vie, alors il est évident qu’il faut la fuir. La Vie n’est pas l’opposé de la mort car la Vie n’a pas d’opposé. Elle est. Elle est dans la naissance et dans la mort qui sont des moments ponctuels de la Vie. Ce parallèle que l’auteur a creusé et développé et auquel elle fait constamment référence est, en quelque sorte, la clé de voûte de cet ouvrage.
L’auteur consacre deux chapitres à chacune des étapes de la « mourance », le premier étant plus spécifiquement destiné au malade incurable qu’il considère comme « un aventurier dans l’inconnu » et le second aux proches et accompagnants extérieurs. Dans les deux cas, Lydia Muller décrit d’abord en quoi l’étape consiste, ainsi que ses difficultés, ses dangers et ses pièges. Ensuite, elle explique l’enjeu de cette étape en se servant du parallèle avec la naissance
En Occident, on a tendance à opposer la vie à la mort, ce qui est lourd de conséquences car si la mort est synonyme de non-vie, alors il est évident qu’il faut la fuir. La Vie n’est pas l’opposé de la mort car la Vie n’a pas d’opposé. Elle est. Elle est dans la naissance et dans la mort qui sont des moments ponctuels de la Vie. Ce parallèle que l’auteur a creusé et développé et auquel elle fait constamment référence est, en quelque sorte, la clé de voûte de cet ouvrage.
L’auteur consacre deux chapitres à chacune des étapes de la « mourance », le premier étant plus spécifiquement destiné au malade incurable qu’il considère comme « un aventurier dans l’inconnu » et le second aux proches et accompagnants extérieurs. Dans les deux cas, Lydia Muller décrit d’abord en quoi l’étape consiste, ainsi que ses difficultés, ses dangers et ses pièges. Ensuite, elle explique l’enjeu de cette étape en se servant du parallèle avec la naissance