Voici un livre qui se propose de parler de la solitude en parlant de la société ; un livre qui précise ce que signifie le fait d’aimer être seul ; un livre qui s’adresse au voyageur qui est en nous et sollicite notre sens de la justice ; un livre, enfin, qui nous invite à repenser la solitude volontaire pour y voir d’abord, et avant tout, une expérience de liberté et un ressort critique.
On ne donne aucune recette de bonheur. On ne conseille pas non plus de choisir entre la contemplation et l’action, la sagesse et la politique.
Pour définir un bon usage de la solitude, on se demande plutôt : que fuyons-nous dans le voyage ? Que trouvons-nous dans la solitude ? Que veut dire être à soi ? La société nous suffit-elle ? Quel genre de citoyen est le solitaire ? Peut-on se rendre solidaire quand on est solitaire ? Pourquoi faut-il croire en la nature ?
Voici un livre qui se propose de parler de la solitude en parlant de la société ; un livre qui précise ce que signifie le fait d’aimer être seul ; un livre qui s’adresse au voyageur qui est en nous et sollicite notre sens de la justice ; un livre, enfin, qui nous invite à repenser la solitude volontaire pour y voir d’abord, et avant tout, une expérience de liberté et un ressort critique.
On ne donne aucune recette de bonheur. On ne conseille pas non plus de choisir entre la contemplation et l’action, la sagesse et la politique.
Pour définir un bon usage de la solitude, on se demande plutôt : que fuyons-nous dans le voyage ? Que trouvons-nous dans la solitude ? Que veut dire être à soi ? La société nous suffit-elle ? Quel genre de citoyen est le solitaire ? Peut-on se rendre solidaire quand on est solitaire ? Pourquoi faut-il croire en la nature ?