
		La vie de Lao Tsi, à l’instar du Tao, demeure aussi obscure que mystérieuse.
Pourquoi  donc un nouvel ouvrage sur le Daode Jing , texte déjà le plus traduit  au monde ? Le Daode Jing n’est certes pas la seule montagne de sagesse  dont il est possible d’entreprendre l’ascension mais rares sont les  textes qui atteignent, en si peu de mots (5000 idéogrammes chinois  environ) un tel sommet de profondeur.
Lao Tsi avait prévenu au  chapitre 70 : « Mes paroles sont faciles à comprendre [...] pourtant  personne au monde ne les comprend. » Certes, mais le Daode Jing présente  néanmoins des perspectives concrètes pour une qualité de vie tendant  vers la spiritualité.
Cheminer sur la voie du Tao, c’est en effet  reprendre contact avec sa nature et envisager un autre paradigme du  rapport aux autres et au monde. C’est en accordant un peu de place au  vide, en se plaçant en retrait par rapport à un certain nombre de mythes  et de préjugés que l’on accèdera à un espace de liberté et de sérénité.  On étudie ainsi moins le Tao qu’on ne se découvre soi-même. On le  conceptualise moins qu’on ne le vit. Parti en quête de son essence, on  ne finit pas de trouver des sens au Tao !

La vie de Lao Tsi, à l’instar du Tao, demeure aussi obscure que mystérieuse.
Pourquoi  donc un nouvel ouvrage sur le Daode Jing , texte déjà le plus traduit  au monde ? Le Daode Jing n’est certes pas la seule montagne de sagesse  dont il est possible d’entreprendre l’ascension mais rares sont les  textes qui atteignent, en si peu de mots (5000 idéogrammes chinois  environ) un tel sommet de profondeur.
Lao Tsi avait prévenu au  chapitre 70 : « Mes paroles sont faciles à comprendre [...] pourtant  personne au monde ne les comprend. » Certes, mais le Daode Jing présente  néanmoins des perspectives concrètes pour une qualité de vie tendant  vers la spiritualité.
Cheminer sur la voie du Tao, c’est en effet  reprendre contact avec sa nature et envisager un autre paradigme du  rapport aux autres et au monde. C’est en accordant un peu de place au  vide, en se plaçant en retrait par rapport à un certain nombre de mythes  et de préjugés que l’on accèdera à un espace de liberté et de sérénité.  On étudie ainsi moins le Tao qu’on ne se découvre soi-même. On le  conceptualise moins qu’on ne le vit. Parti en quête de son essence, on  ne finit pas de trouver des sens au Tao !
