Ce témoignage est une invitation à reconnaître que ce que nous percevons n’est qu’un rêve auquel nous nous identifions. Nous sommes prisonniers de notre propre construction mentale, de l’image de nous-mêmes que nous nous sommes fabriquée. Nous sommes préoccupés par nos désirs, nos ambitions… et notre quête spirituelle. Notre préoccupation constante au sujet de notre personnage est ce que nous nommons habituellement notre réalité, et que Betty appelle "un rêve d’individualité". Ce rêve est une construction mentale robotique. Ce livre est le témoignage de "la fin d’un rêve d’individualité", de l’individu que l’on croit être. Le rêveur est conditionné à croire (réagir avec sa mémoire) et non pas à voir directement et lucidement l’événement qui se déroule dans l’instant. Betty démonte magistralement ce fonctionnement erroné. Voir prendra la forme du symbole "On ne rêve que de soi". La façon la plus directe de se voir est de regarder le moment présent comme étant le reflet précis de qui on croit être. Pour que disparaissent les vitres illusoires de son aquarium personnel, le rêveur n’a qu’à regarder ce qui se déroule dans sa vie quotidienne. La vigilance est essentielle pour cette remise en question, une vigilance constante à remettre son attention dans l’instant. Betty constatant que "le rêve est un mécanisme désincarné, sans âme, répétitif, une machine" ; un lâcher prise fondamental en résulte. Avec le lâcher prise vint le basculement : "Je suis l’inconnu, le vivant… La Vie est comme une source d’eau vive qui jaillit…". Avec des mots simples, un langage clair et direct, Betty nous parle de ce courant vivant, vibrant. Un livre passionnant, un témoignage extrêmement précieux qui se lit en même temps comme un roman. Son invitation pour accomplir notre propre voyage intérieur est un vrai message de joie.
Ce témoignage est une invitation à reconnaître que ce que nous percevons n’est qu’un rêve auquel nous nous identifions. Nous sommes prisonniers de notre propre construction mentale, de l’image de nous-mêmes que nous nous sommes fabriquée. Nous sommes préoccupés par nos désirs, nos ambitions… et notre quête spirituelle. Notre préoccupation constante au sujet de notre personnage est ce que nous nommons habituellement notre réalité, et que Betty appelle "un rêve d’individualité". Ce rêve est une construction mentale robotique. Ce livre est le témoignage de "la fin d’un rêve d’individualité", de l’individu que l’on croit être. Le rêveur est conditionné à croire (réagir avec sa mémoire) et non pas à voir directement et lucidement l’événement qui se déroule dans l’instant. Betty démonte magistralement ce fonctionnement erroné. Voir prendra la forme du symbole "On ne rêve que de soi". La façon la plus directe de se voir est de regarder le moment présent comme étant le reflet précis de qui on croit être. Pour que disparaissent les vitres illusoires de son aquarium personnel, le rêveur n’a qu’à regarder ce qui se déroule dans sa vie quotidienne. La vigilance est essentielle pour cette remise en question, une vigilance constante à remettre son attention dans l’instant. Betty constatant que "le rêve est un mécanisme désincarné, sans âme, répétitif, une machine" ; un lâcher prise fondamental en résulte. Avec le lâcher prise vint le basculement : "Je suis l’inconnu, le vivant… La Vie est comme une source d’eau vive qui jaillit…". Avec des mots simples, un langage clair et direct, Betty nous parle de ce courant vivant, vibrant. Un livre passionnant, un témoignage extrêmement précieux qui se lit en même temps comme un roman. Son invitation pour accomplir notre propre voyage intérieur est un vrai message de joie.