
		Rudolf Steiner a souvent décrit son ouvrage - La philosophie de la liberté - comme un organisme de pensées et que l’on ne pouvait pas, par  exemple, déplacer tel développement, telle idée, que chacun ou chacune  se trouvait en relation avec l’ensemble de l’œuvre dans un tout  organique et que par conséquent chaque idée découlait du développement  précédent et se trouvait en relation également avec le développement à  venir. Par ailleurs, Steiner a également parlé du lien entre le nombre  sept et tous les organismes qui se développent dans le temps. 
C’est ainsi, à partir de ces deux idées, que j’ai entrepris une  recherche avec cette question précise trouve-t-on dans ce livre un  développement organique en sept étapes ? 
Cette question et la recherche qui suivie fut pour moi extrêmement  féconde. En fait, ce fut une source d’étonnement et de découverte.  D’abord, il fut assez facile d’apercevoir que la progression de l’ouvre,  chapitre après chapitre, répondait au caractère et à la qualité propre  du nombre sept. Ce fut par contre une longue lutte pour voir dans tous  ses détails ces sept étapes à l’intérieur de chaque chapitre. Parfois,  cette structure se présentait par elle-même, parfois, il me semblait  impossible de réduire le chapitre en sept étapes jusqu’au moment où  finalement celles-ci m’apparaissaient avec évidence. 
Le résultat de ce travail donne au lecteur un outil pour réaliser  une méditation complète de l’œuvre et cela, malgré tout, à partir de sa  propre force intérieure. Chaque étape conceptuelle représente un  concentré d’un développement, le lecteur doit donc connaître l’œuvre  originale, mais il n’est plus alors si difficile d’englober ensuite dans  sa pensée ce développement, à partir du moment où le cour même de  celui-ci a été résumé et condensé en une « étape conceptuelle ». Ainsi  on peut après un certain temps penser méditer activement l’œuvre entière 
Cela nécessite de travailler en alternance entre les sept étapes  conceptuelles, que nous présentons ici, et la lecture de l’ouvrage de  Steiner (notre deuxième étude « La pensée éthérique, un résumé » peut  également aider à la compréhension du texte de Steiner). Celui qui  voudra encore aller plus loin, réécrira peut-être lui-même ces sept  étapes en personnalisant leurs formulations. 
L’impulsion pour réaliser cette méditation et donc le travail  préparatoire que nous livrons ici, m’a été donnée par la lecture d’une  conférence de Rudolf Steiner.
 L’action humaine consciente 
 L’aspiration fondamentale à la connaissance 
 La pensée instrument de conception du  monde 
 le monde comme perception 
 La connaissance de l’univers 
 L’individualité humaine 
 Existe-t-il des limites au connaître 
 Les facteurs de la vie 
 L’idée de la liberté et monisme 
 Finalité et destination de l’homme 
 L’imagination créatrice morale 
 La valeur de l’existence 
 Individualité et espèce

Rudolf Steiner a souvent décrit son ouvrage - La philosophie de la liberté - comme un organisme de pensées et que l’on ne pouvait pas, par  exemple, déplacer tel développement, telle idée, que chacun ou chacune  se trouvait en relation avec l’ensemble de l’œuvre dans un tout  organique et que par conséquent chaque idée découlait du développement  précédent et se trouvait en relation également avec le développement à  venir. Par ailleurs, Steiner a également parlé du lien entre le nombre  sept et tous les organismes qui se développent dans le temps. 
C’est ainsi, à partir de ces deux idées, que j’ai entrepris une  recherche avec cette question précise trouve-t-on dans ce livre un  développement organique en sept étapes ? 
Cette question et la recherche qui suivie fut pour moi extrêmement  féconde. En fait, ce fut une source d’étonnement et de découverte.  D’abord, il fut assez facile d’apercevoir que la progression de l’ouvre,  chapitre après chapitre, répondait au caractère et à la qualité propre  du nombre sept. Ce fut par contre une longue lutte pour voir dans tous  ses détails ces sept étapes à l’intérieur de chaque chapitre. Parfois,  cette structure se présentait par elle-même, parfois, il me semblait  impossible de réduire le chapitre en sept étapes jusqu’au moment où  finalement celles-ci m’apparaissaient avec évidence. 
Le résultat de ce travail donne au lecteur un outil pour réaliser  une méditation complète de l’œuvre et cela, malgré tout, à partir de sa  propre force intérieure. Chaque étape conceptuelle représente un  concentré d’un développement, le lecteur doit donc connaître l’œuvre  originale, mais il n’est plus alors si difficile d’englober ensuite dans  sa pensée ce développement, à partir du moment où le cour même de  celui-ci a été résumé et condensé en une « étape conceptuelle ». Ainsi  on peut après un certain temps penser méditer activement l’œuvre entière 
Cela nécessite de travailler en alternance entre les sept étapes  conceptuelles, que nous présentons ici, et la lecture de l’ouvrage de  Steiner (notre deuxième étude « La pensée éthérique, un résumé » peut  également aider à la compréhension du texte de Steiner). Celui qui  voudra encore aller plus loin, réécrira peut-être lui-même ces sept  étapes en personnalisant leurs formulations. 
L’impulsion pour réaliser cette méditation et donc le travail  préparatoire que nous livrons ici, m’a été donnée par la lecture d’une  conférence de Rudolf Steiner.
 L’action humaine consciente 
 L’aspiration fondamentale à la connaissance 
 La pensée instrument de conception du  monde 
 le monde comme perception 
 La connaissance de l’univers 
 L’individualité humaine 
 Existe-t-il des limites au connaître 
 Les facteurs de la vie 
 L’idée de la liberté et monisme 
 Finalité et destination de l’homme 
 L’imagination créatrice morale 
 La valeur de l’existence 
 Individualité et espèce
