
		Jean-Jacques Olier parle d’une « structure angélique », des «  impressions » que provoque celle-ci dans l’âme et des sensations que suscite ce matériau impalpable :  parfums divins et fragrances angéliques.« Esprits de ravissement » et « distributeurs » de la  connaissance et de l’amour que Dieu porte en lui, les anges, selon Olier, ont la clef pour fermer le  coeur aux illusions et l’ouvrir à la vérité.
Ainsi l’âme, ayant revêtu les ailes de la contemplation,  s’envole vers Dieu, et se perd dans l’abîme d’une lumière inaccessible. Par le rythme d’une écriture parfois  « vertigineuse », qui atteint le sommet de la poésie mystique, Olier  reproduit dans le langage l’écho des choeurs célestes. Mais c’est à  l’homme, expliquera l’auteur, de faire écouter cette musique divine dans  le fond de l’âme, qui, s’ayant détachée et évidée de toutes choses,  reçoit et amplifie la voix de Dieu.         
Jean-Jacques  Olier (1608-1657) est né d´une famille aisée de la haute magistrature.
Ordonné prêtre  en 1633, puis curé de Saint-Sulpice en 1642, il s’emploie alors à  organiser la paroisse en posant l’enseignement de la foi chrétienne comme objectif principal. Il  crée la Compagnie des prêtes de Saint-Sulpice en 1651.

Jean-Jacques Olier parle d’une « structure angélique », des «  impressions » que provoque celle-ci dans l’âme et des sensations que suscite ce matériau impalpable :  parfums divins et fragrances angéliques.« Esprits de ravissement » et « distributeurs » de la  connaissance et de l’amour que Dieu porte en lui, les anges, selon Olier, ont la clef pour fermer le  coeur aux illusions et l’ouvrir à la vérité.
Ainsi l’âme, ayant revêtu les ailes de la contemplation,  s’envole vers Dieu, et se perd dans l’abîme d’une lumière inaccessible. Par le rythme d’une écriture parfois  « vertigineuse », qui atteint le sommet de la poésie mystique, Olier  reproduit dans le langage l’écho des choeurs célestes. Mais c’est à  l’homme, expliquera l’auteur, de faire écouter cette musique divine dans  le fond de l’âme, qui, s’ayant détachée et évidée de toutes choses,  reçoit et amplifie la voix de Dieu.         
Jean-Jacques  Olier (1608-1657) est né d´une famille aisée de la haute magistrature.
Ordonné prêtre  en 1633, puis curé de Saint-Sulpice en 1642, il s’emploie alors à  organiser la paroisse en posant l’enseignement de la foi chrétienne comme objectif principal. Il  crée la Compagnie des prêtes de Saint-Sulpice en 1651.
