En 1913 et 1914, Rudolf Steiner présente à divers publics ce qu’il appelle « Le Cinquième Évangile » ou « Évangile de la connaissance ». Il éprouve cela, dit-il, comme une « obligation intérieure », une « nécessité » pour l’humanité actuelle et les Éditions Novalis sont heureuses de vous présenter l’intégralité des conférences qui ont été dactylographiées ou pour lesquelles on dispose de notes.
Dans ces conférences, Steiner expose ce qu’il a pu lire dans la « chronique de l’âkâsha » : les expériences concrètes que vécut l’âme de Jésus de Nazareth entre sa douzième année – lorsqu’il reçut le moi de Zarathoustra – et sa trentième année – où il reçut l’entité solaire du Christ et devint « Jésus-Christ », lors du Baptême par Jean-Baptiste dans le Jourdain.
Ces expériences de l’âme lui firent ressentir douloureusement que l’humanité avait perdu l’accès aux vérités spirituelles, que ce soit dans le judaïsme ou dans le paganisme.
Et ces souffrances s’intensifièrent encore lorsqu’il comprit qu’un mouvement comme celui des Esséniens n’apportait le salut qu’à quelques individus, aux dépens des autres hommes. Pour sauver toute l’humanité en déclin, il fallait que vînt une impulsion rajeunissante, pour laquelle il se sentait appelé à se sacrifier. Jésus confie sa souffrance à sa mère adoptive dans un entretien qui constitue le sommet du livre.
Ces conférences reprennent le même thème, mais en donnant chaque fois un éclairage différent. Grâce à la répétition, le lecteur peut pénétrer dans un contenu « extra-ordinaire », dont la communication par la lecture exerce sur lui une action thérapeutique, vivifiante. Le Cinquième Évangile est, selon Steiner, « une fontaine de consolation et de santé, un livre porteur de forces. » Il correspond à la nécessité d’un renouveau dans la façon de comprendre le Christ et ce penser a un caractère thérapeutique.
En 1913 et 1914, Rudolf Steiner présente à divers publics ce qu’il appelle « Le Cinquième Évangile » ou « Évangile de la connaissance ». Il éprouve cela, dit-il, comme une « obligation intérieure », une « nécessité » pour l’humanité actuelle et les Éditions Novalis sont heureuses de vous présenter l’intégralité des conférences qui ont été dactylographiées ou pour lesquelles on dispose de notes.
Dans ces conférences, Steiner expose ce qu’il a pu lire dans la « chronique de l’âkâsha » : les expériences concrètes que vécut l’âme de Jésus de Nazareth entre sa douzième année – lorsqu’il reçut le moi de Zarathoustra – et sa trentième année – où il reçut l’entité solaire du Christ et devint « Jésus-Christ », lors du Baptême par Jean-Baptiste dans le Jourdain.
Ces expériences de l’âme lui firent ressentir douloureusement que l’humanité avait perdu l’accès aux vérités spirituelles, que ce soit dans le judaïsme ou dans le paganisme.
Et ces souffrances s’intensifièrent encore lorsqu’il comprit qu’un mouvement comme celui des Esséniens n’apportait le salut qu’à quelques individus, aux dépens des autres hommes. Pour sauver toute l’humanité en déclin, il fallait que vînt une impulsion rajeunissante, pour laquelle il se sentait appelé à se sacrifier. Jésus confie sa souffrance à sa mère adoptive dans un entretien qui constitue le sommet du livre.
Ces conférences reprennent le même thème, mais en donnant chaque fois un éclairage différent. Grâce à la répétition, le lecteur peut pénétrer dans un contenu « extra-ordinaire », dont la communication par la lecture exerce sur lui une action thérapeutique, vivifiante. Le Cinquième Évangile est, selon Steiner, « une fontaine de consolation et de santé, un livre porteur de forces. » Il correspond à la nécessité d’un renouveau dans la façon de comprendre le Christ et ce penser a un caractère thérapeutique.