Sans doute le dernier Adepte à la croisée de plusieurs mutations, son rayonnement international a fait oublier l’homme qu’il était. Johan Dreue s’emploie à le rétablir dans sa vérité suite à une longue enquête de plus de 30 ans et grâce à l’aide d’archives qu’il reçu en legs sous réserve de les publier un jour et ce jour est venu. Héliopolis est le nom d’une cité sainte bâtie dans le delta du Nil environ 4.500 ans av JC par la race fondatrice de l’Egypte ancienne: les Shem-sou Hor soit littéralement ceux qui suivent Horus. Ce peuple n’était constitué ni de guerriers, ni de prêtres, ni de rois, ils étaient orfèvres et forgerons, et les derniers survivants d’un continent englouti. Le Maitre et Adepte Fulcanelli s’est employé à faire revivre cette fraternité mythique au travers de différents portraits de ceux qui insufflèrent par leur art et leur témoignage dans la pierre l’antique message qui autrement se serait effacé de la mémoire des hommes. Il appela ces legs et dépôts des “demeures philosophales” et l’ensemble de celles-ci forment la cité invisible d’Héliopolis. Ceux qui reprirent le flambeau se rassemblèrent sous la bannière des frères en Héliopolis ou encore de la communauté des Rose Croix et le nom de leur cité idéale se changea en Christianopolis. Nul doute que l’Adepte les a connu tant il les cite à longueur d’ouvrage : « Invisibles parce qu’inconnus » disait-il. C’était le sort qu’il s’était réservé mais le grand homme de science qu’il était a laissé assez de traces par l’œuvre accomplie sur ce plan pour que nous puissions aussi dresser le portait émouvant d’un homme de cœur et d’esprit dont la culture n’avait d’égale que sa probité et sa modestie. Au delà de l’alchimie la filiation ininterrompue fut maintenue au travers de cet homme dont nous racontons l’histoire avec des éléments dévoilés pour la première fois.
Sans doute le dernier Adepte à la croisée de plusieurs mutations, son rayonnement international a fait oublier l’homme qu’il était. Johan Dreue s’emploie à le rétablir dans sa vérité suite à une longue enquête de plus de 30 ans et grâce à l’aide d’archives qu’il reçu en legs sous réserve de les publier un jour et ce jour est venu. Héliopolis est le nom d’une cité sainte bâtie dans le delta du Nil environ 4.500 ans av JC par la race fondatrice de l’Egypte ancienne: les Shem-sou Hor soit littéralement ceux qui suivent Horus. Ce peuple n’était constitué ni de guerriers, ni de prêtres, ni de rois, ils étaient orfèvres et forgerons, et les derniers survivants d’un continent englouti. Le Maitre et Adepte Fulcanelli s’est employé à faire revivre cette fraternité mythique au travers de différents portraits de ceux qui insufflèrent par leur art et leur témoignage dans la pierre l’antique message qui autrement se serait effacé de la mémoire des hommes. Il appela ces legs et dépôts des “demeures philosophales” et l’ensemble de celles-ci forment la cité invisible d’Héliopolis. Ceux qui reprirent le flambeau se rassemblèrent sous la bannière des frères en Héliopolis ou encore de la communauté des Rose Croix et le nom de leur cité idéale se changea en Christianopolis. Nul doute que l’Adepte les a connu tant il les cite à longueur d’ouvrage : « Invisibles parce qu’inconnus » disait-il. C’était le sort qu’il s’était réservé mais le grand homme de science qu’il était a laissé assez de traces par l’œuvre accomplie sur ce plan pour que nous puissions aussi dresser le portait émouvant d’un homme de cœur et d’esprit dont la culture n’avait d’égale que sa probité et sa modestie. Au delà de l’alchimie la filiation ininterrompue fut maintenue au travers de cet homme dont nous racontons l’histoire avec des éléments dévoilés pour la première fois.