« Ambition professionnelle, course aux gratifications, addictions en tout genre, multiplication des relations amoureuses, accumulation de biens, voyages lointains, antidépresseurs… ce sont là les multiples stratégies que nous propose en vain la culture contemporaine pour nous affranchir de la souffrance inhérente à l’existence. Or, tenter de fuir les émotions qui nous perturbent ne fait qu’accroître leur emprise. La souffrance nous rattrape toujours.
Il existe une alternative à ce chemin et c’est le propos de Mark Epstein de nous y introduire. Il le fait avec d’autant plus de force qu’il combine les avancées les plus récentes de la psychanalyse en matière de traumatisme avec les enseignements ancestraux du bouddhisme. Car « La vie est souffrance – la vie est dukkha », est le premier enseignement du Bouddha. »
Christophe Fauré (extrait de la préface)
« Ambition professionnelle, course aux gratifications, addictions en tout genre, multiplication des relations amoureuses, accumulation de biens, voyages lointains, antidépresseurs… ce sont là les multiples stratégies que nous propose en vain la culture contemporaine pour nous affranchir de la souffrance inhérente à l’existence. Or, tenter de fuir les émotions qui nous perturbent ne fait qu’accroître leur emprise. La souffrance nous rattrape toujours.
Il existe une alternative à ce chemin et c’est le propos de Mark Epstein de nous y introduire. Il le fait avec d’autant plus de force qu’il combine les avancées les plus récentes de la psychanalyse en matière de traumatisme avec les enseignements ancestraux du bouddhisme. Car « La vie est souffrance – la vie est dukkha », est le premier enseignement du Bouddha. »
Christophe Fauré (extrait de la préface)