Durant ces enseignements, donnés à Paris et à Saanen (Suisse) en 1967, Krishnamurti aborde la question de la communication. Il y a une façon d’écouter. De même qu’il y a une façon d’aimer.
« Communiquer veut dire que non seulement les mots utilisés soient compris, mais aussi que l’orateur et l’auditeur soient capables de se rejoindre avec la même intensité, au même niveau et au même moment. Cela, c’est la communication, la communion. »
Si l’auditeur pense à autre chose, s’il prépare la question à poser à son tour, s’il poursuit son propre entretien interne fait d’arrière-pensées, elles-mêmes fruit de son éducation, de ses conditionnements divers et variés, alors il y a peu de chances qu’une communication réelle puisse, selon Krishnamurti, s’établir.
Dans cette insistance à réveiller chez son auditeur l’écoute véritable, entière, intense, tout l’enseignement de Krishnamurti n’est-il pas contenu en germe ? Et quand il privilégie la communion, n’est-ce pas déjà d’amour dont il parle ?
Durant ces enseignements, donnés à Paris et à Saanen (Suisse) en 1967, Krishnamurti aborde la question de la communication. Il y a une façon d’écouter. De même qu’il y a une façon d’aimer.
« Communiquer veut dire que non seulement les mots utilisés soient compris, mais aussi que l’orateur et l’auditeur soient capables de se rejoindre avec la même intensité, au même niveau et au même moment. Cela, c’est la communication, la communion. »
Si l’auditeur pense à autre chose, s’il prépare la question à poser à son tour, s’il poursuit son propre entretien interne fait d’arrière-pensées, elles-mêmes fruit de son éducation, de ses conditionnements divers et variés, alors il y a peu de chances qu’une communication réelle puisse, selon Krishnamurti, s’établir.
Dans cette insistance à réveiller chez son auditeur l’écoute véritable, entière, intense, tout l’enseignement de Krishnamurti n’est-il pas contenu en germe ? Et quand il privilégie la communion, n’est-ce pas déjà d’amour dont il parle ?