Aimer ou ne pas aimer, là est la question. Mais de quel amour parlons-nous ?
Y aurait-il un amour pervers et un autre divin ? Un amour qui serait en nous comme un « diable » et un autre qui nous viendrait de Dieu ? Pour l’auteur des Épîtres de Jean, c’est le Logos lui-même qui parle et agit dans le corps de Yeshua et révèle l’Amour qu’Il est. Ce Verbe dénonce le monde dans lequel nous vivons, le monde de nos pensées et de nos convoitises ; mais en même temps, il n’a de cesse de le sauver, car ce monde est habité par une intelligence et un désir qui l’ouvre à plus grand que lui.
C’est vers cette réalité que Jean-Yves Leloup, à la suite de Yohanan, « le disciple bien aimé », nous invite. Comme dans ses précédentes traductions et interprétations du corpus johannique – L’Évangile de Jean et Le Livre de l’Apocalypse – il nous fait éprouver le goût d’infini, les saveurs originelles et toujours d’actualité du premier christianisme.
Aimer ou ne pas aimer, là est la question. Mais de quel amour parlons-nous ?
Y aurait-il un amour pervers et un autre divin ? Un amour qui serait en nous comme un « diable » et un autre qui nous viendrait de Dieu ? Pour l’auteur des Épîtres de Jean, c’est le Logos lui-même qui parle et agit dans le corps de Yeshua et révèle l’Amour qu’Il est. Ce Verbe dénonce le monde dans lequel nous vivons, le monde de nos pensées et de nos convoitises ; mais en même temps, il n’a de cesse de le sauver, car ce monde est habité par une intelligence et un désir qui l’ouvre à plus grand que lui.
C’est vers cette réalité que Jean-Yves Leloup, à la suite de Yohanan, « le disciple bien aimé », nous invite. Comme dans ses précédentes traductions et interprétations du corpus johannique – L’Évangile de Jean et Le Livre de l’Apocalypse – il nous fait éprouver le goût d’infini, les saveurs originelles et toujours d’actualité du premier christianisme.