Le Vieil Homme qui vendait du thé est un ancien moine bouddhiste, revenu à la vie laïque, qui trouve dans cette nouvelle activité l´occasion à la fois de « se retirer du monde » et de poursuivre des échanges agréables avec ceux qui fréquentent sa boutique, attirés par sa sagesse et sa culture. Nous sommes au Japon, à Kyoto, au XVIIIe siècle, à l´apogée de l´ère d´Edo.
À travers cet « excentrique exemplaire » — Socrate extrême-oriental — et avec l´étude de la civilisation d´Edo, c´est un pan extrêmement attachant de la culture japonaise que nous décrit avec brio et enthousiasme François Lachaud, proposant ainsi une réflexion passionnante sur les rapports entre excentricité et ascèse, qui met à mal les clichés occidentaux.
Le Vieil Homme qui vendait du thé est un ancien moine bouddhiste, revenu à la vie laïque, qui trouve dans cette nouvelle activité l´occasion à la fois de « se retirer du monde » et de poursuivre des échanges agréables avec ceux qui fréquentent sa boutique, attirés par sa sagesse et sa culture. Nous sommes au Japon, à Kyoto, au XVIIIe siècle, à l´apogée de l´ère d´Edo.
À travers cet « excentrique exemplaire » — Socrate extrême-oriental — et avec l´étude de la civilisation d´Edo, c´est un pan extrêmement attachant de la culture japonaise que nous décrit avec brio et enthousiasme François Lachaud, proposant ainsi une réflexion passionnante sur les rapports entre excentricité et ascèse, qui met à mal les clichés occidentaux.