L´homme est autrement qu´il ne sait. Mais l´affectif contient aussi un savoir. C´est ce savoir que l´auteur tente de découvrir, par l´étude de l´amour, de l´angoisse, du rêve, de la folie, de la poésie. Il examine tous les refus, toutes les confusions qu´engendre le désir. Il aborde le problème du symbolisme. Il cherche l´origine des affirmations irrationnelles que suppose la foi. En cela, il est conduit à évoquer Rimbaud, Proust, les surréalistes aussi bien que les chrétiens médiévaux, à mettre en cause les interprétations de Freud, de Heidegger, de Lacan aussi bien que celles de Spinoza, de Descartes, de Kant, de Hegel. Il s´oppose à l´opinion des contemporains selon lesquels la science contient seule ce que chacun de nous appelle vérité. A ses yeux, la conscience trouve, vers l´être, d´autres chemins. La philosophie ne saurait les négliger. Encore ne peut-elle s´y engager sans user des lumières d´une rigoureuse critique.
L´homme est autrement qu´il ne sait. Mais l´affectif contient aussi un savoir. C´est ce savoir que l´auteur tente de découvrir, par l´étude de l´amour, de l´angoisse, du rêve, de la folie, de la poésie. Il examine tous les refus, toutes les confusions qu´engendre le désir. Il aborde le problème du symbolisme. Il cherche l´origine des affirmations irrationnelles que suppose la foi. En cela, il est conduit à évoquer Rimbaud, Proust, les surréalistes aussi bien que les chrétiens médiévaux, à mettre en cause les interprétations de Freud, de Heidegger, de Lacan aussi bien que celles de Spinoza, de Descartes, de Kant, de Hegel. Il s´oppose à l´opinion des contemporains selon lesquels la science contient seule ce que chacun de nous appelle vérité. A ses yeux, la conscience trouve, vers l´être, d´autres chemins. La philosophie ne saurait les négliger. Encore ne peut-elle s´y engager sans user des lumières d´une rigoureuse critique.