Soutenue par les Rothschild et les Rockefeller, la Société fabienne (Fabian Society) est à l´origine de ce qu´on appelle aujourd´hui le Nouvel Ordre Mondial par l´intermédiaire de ses nombreuses ramifications, dont le Council on Foreign Relations (CFR), le Bilderberg, la Commission Trilatérale et d´autres instruments de pouvoir antidémocratique.
La Société fabienne est aussi à l´origine des Nations Unies et autres organisations supra-nationales. A partir des années 1920, le gouvernement mondial a été particulièrement promu par le département des relations internationales de la London School of Economics, une université fondée par la Société fabienne. Cette prestigieuse école de sciences économiques a formé dans un esprit fabien des générations de dirigeants, dont l´ancien président de la Commission européenne Romano Prodi, la reine du Danemark Margarethe II, l´ex-premier ministre canadien Pierre Elliott Trudeau, le financier George Soros (fondateur de l´institut Open Society) et l´ex-premier ministre du Québec Jacques Parizeau (nous vous rappelons que le Parti Québécois est membre du Montreal Council on Foreign Relations, une filiale du CFR, créé par les mondialistes fabiens Rockefeller).
Le pendant canadien de la Société fabienne est la Fondation Douglas-Coldwell, créée par Tommy Douglas, le premier chef fédéral du Nouveau Parti démocratique (NPD) de 1961 à 1971, et MJ Coldwell, chef de la Fédération du Commonwealth coopératif (FCC), de 1942 à 1960. Tous les deux avaient désiré un homologue canadien à la Société fabienne.
Le livre de Guy Boulianne vous dévoilera des informations qui vous feront mieux comprendre les enjeux actuels de la mondialisation, de l´immigration massive et du multiculturalisme. L´objectif de la Société fabienne étant de détruire les identités raciales et culturelles, le nationalisme et de mettre fin à la démocratie en utilisant les principes du socialisme démocratique et du gradualisme dans le but ultime d´implanter un gouvernement mondial, sous l´égide d´un régime totalitaire.
Soutenue par les Rothschild et les Rockefeller, la Société fabienne (Fabian Society) est à l´origine de ce qu´on appelle aujourd´hui le Nouvel Ordre Mondial par l´intermédiaire de ses nombreuses ramifications, dont le Council on Foreign Relations (CFR), le Bilderberg, la Commission Trilatérale et d´autres instruments de pouvoir antidémocratique.
La Société fabienne est aussi à l´origine des Nations Unies et autres organisations supra-nationales. A partir des années 1920, le gouvernement mondial a été particulièrement promu par le département des relations internationales de la London School of Economics, une université fondée par la Société fabienne. Cette prestigieuse école de sciences économiques a formé dans un esprit fabien des générations de dirigeants, dont l´ancien président de la Commission européenne Romano Prodi, la reine du Danemark Margarethe II, l´ex-premier ministre canadien Pierre Elliott Trudeau, le financier George Soros (fondateur de l´institut Open Society) et l´ex-premier ministre du Québec Jacques Parizeau (nous vous rappelons que le Parti Québécois est membre du Montreal Council on Foreign Relations, une filiale du CFR, créé par les mondialistes fabiens Rockefeller).
Le pendant canadien de la Société fabienne est la Fondation Douglas-Coldwell, créée par Tommy Douglas, le premier chef fédéral du Nouveau Parti démocratique (NPD) de 1961 à 1971, et MJ Coldwell, chef de la Fédération du Commonwealth coopératif (FCC), de 1942 à 1960. Tous les deux avaient désiré un homologue canadien à la Société fabienne.
Le livre de Guy Boulianne vous dévoilera des informations qui vous feront mieux comprendre les enjeux actuels de la mondialisation, de l´immigration massive et du multiculturalisme. L´objectif de la Société fabienne étant de détruire les identités raciales et culturelles, le nationalisme et de mettre fin à la démocratie en utilisant les principes du socialisme démocratique et du gradualisme dans le but ultime d´implanter un gouvernement mondial, sous l´égide d´un régime totalitaire.