
		Près des eaux d’un bleu éclatant du lac Baïkal, sur les terres où se  rencontrent la Mongolie, la Sibérie et la Chine, vivent les Bouriates,  peuple indigène très peu connu du monde occidental. Après soixante-dix  ans de persécution religieuse par le gouvernement soviétique, ils  peuvent à nouveau exercer leurs pratiques spirituelles traditionnelles,  un mélange unique de bouddhisme tibétain et de chamanisme. Il existe  deux chemins chamaniques dans la tradition bouriate : le chamanisme  noir, qui tire son pouvoir de la terre, et le chamanisme blanc, qui le  tient du ciel.
Ce livre nous décrit l’intégralité du shanar , l’un des plus important rituels chamanique des Bouriates, au cours  duquel un nouveau chaman entre pour la première fois en contact avec les  esprits de ses ancêtres et reçoit leur pouvoir. Grâce à de nombreuses  photographies en des objets rituels, des costumes colorés, ainsi que de  l’orgay –les cornes du chaman–, et nous montrent, de façon vivante et  inédite, les mouvements qui animent les chamans lorsque shanar, l’un  couleur, les auteurs détaillent la préparation de l’espace sacré, les  esprits entrent en eux.

Près des eaux d’un bleu éclatant du lac Baïkal, sur les terres où se  rencontrent la Mongolie, la Sibérie et la Chine, vivent les Bouriates,  peuple indigène très peu connu du monde occidental. Après soixante-dix  ans de persécution religieuse par le gouvernement soviétique, ils  peuvent à nouveau exercer leurs pratiques spirituelles traditionnelles,  un mélange unique de bouddhisme tibétain et de chamanisme. Il existe  deux chemins chamaniques dans la tradition bouriate : le chamanisme  noir, qui tire son pouvoir de la terre, et le chamanisme blanc, qui le  tient du ciel.
Ce livre nous décrit l’intégralité du shanar , l’un des plus important rituels chamanique des Bouriates, au cours  duquel un nouveau chaman entre pour la première fois en contact avec les  esprits de ses ancêtres et reçoit leur pouvoir. Grâce à de nombreuses  photographies en des objets rituels, des costumes colorés, ainsi que de  l’orgay –les cornes du chaman–, et nous montrent, de façon vivante et  inédite, les mouvements qui animent les chamans lorsque shanar, l’un  couleur, les auteurs détaillent la préparation de l’espace sacré, les  esprits entrent en eux.
