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Von HALL Judith « Et s’Il n’était pas ressuscité… ». Les stations du Christ sur le chemin conduisant à l’homme spirituel Librairie Eklectic

« Et s’Il n’était pas ressuscité… ». Les stations du Christ sur le chemin conduisant à l’homme spirituel

Auteur : Von HALL Judith
Editeur : NOVALIS
Nombre de pages : 208
Date de parution : 10/01/2011
Forme : Livre ISBN :
NOV61

NEUF habituellement en stock
Prix : 17.00€

Cet ouvrage regroupe 7 conférences prononcées par Judith von Halle entre octobre 2004 et mai 2005, complétées par des contributions de Peter Tradowsky, sur le thème fondamental de la rédemption du corps humain.
Lors de la Chute, Adam, l’homme des origines, succomba à la tentation de Lucifer et son corps perdit sa pureté originelle. L’homme s’est peu à peu enfermé dans la matière et a donné prise aux adversaires de l’homme, qui veulent empêcher le salut de l’humanité et de l’univers.
Pour déjouer ces plans, Dieu le Fils s’est incarné dans un corps humain, a connu la mort et est allé combattre dans les profondeurs de la Terre les adversaires de l’homme, en particulier l’Anti-Christ, afin de rendre à l´humanité ses forces perdues et de régénérer le corps humain. C’est dans ce corps de résurrection qu’il apparaît à Marie Madeleine le matin de Pâques.
Judith von Halle met ce corps de résurrection en relation avec sa propre stigmatisation, survenue le Vendredi saint de Pâques 2004, manifestation de l’action des forces spirituelles dans le visible.
Dans sa dernière conférence, sur la Pentecôte, elle décrit comment les disciples se dégagent de la loi ancienne (des liens du sang) et aspirent ardemment « au renouveau du corps astral et du moi ». Une nuée leur apparaît : « Ce fut comme une porte qui s’ouvrait sur une réalité jusque-là cachée et invisible derrière un mur cosmique, un voile du monde sensible, et maintenant visible à travers cette porte. À travers cette porte, l’esprit du ciel entra dans les hommes terrestres. » Cette expérience marqua le début d’une initiation nouvelle et d’une perception nouvelle de l’autre : « Ils avaient pour la première fois la connaissance que le Saint-Esprit est aussi dans l’autre ! […] Ainsi vit le jour une nouvelle communauté, ce que Rudolf Steiner appelle la “Fraternité” ; […] Ce que l’homme peut ressentir à la Pentecôte est donc double : l’individualisation et, grâce à elle, la communion volontaire avec toutes les âmes humaines. »
C’est à cette expérience que veut appeler l’anthroposophie.


Cet ouvrage regroupe 7 conférences prononcées par Judith von Halle entre octobre 2004 et mai 2005, complétées par des contributions de Peter Tradowsky, sur le thème fondamental de la rédemption du corps humain.
Lors de la Chute, Adam, l’homme des origines, succomba à la tentation de Lucifer et son corps perdit sa pureté originelle. L’homme s’est peu à peu enfermé dans la matière et a donné prise aux adversaires de l’homme, qui veulent empêcher le salut de l’humanité et de l’univers.
Pour déjouer ces plans, Dieu le Fils s’est incarné dans un corps humain, a connu la mort et est allé combattre dans les profondeurs de la Terre les adversaires de l’homme, en particulier l’Anti-Christ, afin de rendre à l´humanité ses forces perdues et de régénérer le corps humain. C’est dans ce corps de résurrection qu’il apparaît à Marie Madeleine le matin de Pâques.
Judith von Halle met ce corps de résurrection en relation avec sa propre stigmatisation, survenue le Vendredi saint de Pâques 2004, manifestation de l’action des forces spirituelles dans le visible.
Dans sa dernière conférence, sur la Pentecôte, elle décrit comment les disciples se dégagent de la loi ancienne (des liens du sang) et aspirent ardemment « au renouveau du corps astral et du moi ». Une nuée leur apparaît : « Ce fut comme une porte qui s’ouvrait sur une réalité jusque-là cachée et invisible derrière un mur cosmique, un voile du monde sensible, et maintenant visible à travers cette porte. À travers cette porte, l’esprit du ciel entra dans les hommes terrestres. » Cette expérience marqua le début d’une initiation nouvelle et d’une perception nouvelle de l’autre : « Ils avaient pour la première fois la connaissance que le Saint-Esprit est aussi dans l’autre ! […] Ainsi vit le jour une nouvelle communauté, ce que Rudolf Steiner appelle la “Fraternité” ; […] Ce que l’homme peut ressentir à la Pentecôte est donc double : l’individualisation et, grâce à elle, la communion volontaire avec toutes les âmes humaines. »
C’est à cette expérience que veut appeler l’anthroposophie.