Il y a des choses que l´on voit, il y a des choses que l´on ressent, il y a des choses que l´on souhaite, et il y a celles qui échappent à notre intelligence. Certaines tribus amérindiennes appellent l´âme de la vie Oranda. Elle fait partie des choses que l´on ressent. Il n´est pas nécessaire d´être druide ou chaman pour sentir les forces qui animent la nature ; la fourmi, le merle, la truite, le lion et même l´être humain, de leur naissance à leur mort, ne fonctionnent que grâce à ces forces étranges et vitales. Oranda prend une dimension cosmique quand elle se révèle sous le visage de Jésus-Christ. Dès lors, sa représentation permet d´aborder le concept de Dieu en lui donnant un caractère mathématique, ancré sur le nombre d´or. Ce nombre si particulier est lié au divin par le nombre cinq, et son modèle géométrique est le pentagone. Ce niveau de conscience est accessible à l´intelligence humaine, car la connaissance qu´il génère s´adapte à la culture et au savoir que nous avons accumulé au cours de notre évolution. Passé le niveau du divin, savoir et culture ne suffisent plus pour accéder à un niveau où la connaissance est d´ordre philosophique et métaphysique. Dieu échappe à la raison, et à tous nos systèmes de référence ou de mesure. Il se laisse cependant mettre en équation et la preuve de son ´ êtreté ´ nous est donnée par la géométrie, la plus belle des philosophies. Que nous réserve la vie après la mort ? Jusqu´où sommes-nous autorisés à aller dans cette connaissance ? Dans quel état de grâce ou de béatitude allons-nous être plongés ? Sommes-nous voués au néant ? Avons-nous un choix possible ? Le propos de ce petit livre est d´essayer d´apporter non pas une réponse mais une espérance faite de raison mathématique alliée à l´irrationnel de l´invisible.
Il y a des choses que l´on voit, il y a des choses que l´on ressent, il y a des choses que l´on souhaite, et il y a celles qui échappent à notre intelligence. Certaines tribus amérindiennes appellent l´âme de la vie Oranda. Elle fait partie des choses que l´on ressent. Il n´est pas nécessaire d´être druide ou chaman pour sentir les forces qui animent la nature ; la fourmi, le merle, la truite, le lion et même l´être humain, de leur naissance à leur mort, ne fonctionnent que grâce à ces forces étranges et vitales. Oranda prend une dimension cosmique quand elle se révèle sous le visage de Jésus-Christ. Dès lors, sa représentation permet d´aborder le concept de Dieu en lui donnant un caractère mathématique, ancré sur le nombre d´or. Ce nombre si particulier est lié au divin par le nombre cinq, et son modèle géométrique est le pentagone. Ce niveau de conscience est accessible à l´intelligence humaine, car la connaissance qu´il génère s´adapte à la culture et au savoir que nous avons accumulé au cours de notre évolution. Passé le niveau du divin, savoir et culture ne suffisent plus pour accéder à un niveau où la connaissance est d´ordre philosophique et métaphysique. Dieu échappe à la raison, et à tous nos systèmes de référence ou de mesure. Il se laisse cependant mettre en équation et la preuve de son ´ êtreté ´ nous est donnée par la géométrie, la plus belle des philosophies. Que nous réserve la vie après la mort ? Jusqu´où sommes-nous autorisés à aller dans cette connaissance ? Dans quel état de grâce ou de béatitude allons-nous être plongés ? Sommes-nous voués au néant ? Avons-nous un choix possible ? Le propos de ce petit livre est d´essayer d´apporter non pas une réponse mais une espérance faite de raison mathématique alliée à l´irrationnel de l´invisible.