Le dernier livre de la Bible, l’Apocalypse (« Révélation »), ne s’achève pas sur une destruction mais sur une construction, celle de la « Nouvelle Jérusalem ». Les fondements de la ville céleste sont ornés de douze pierres précieuses : le jaspe, le saphir, la calcédoine, l’émeraude, la sardonyx, la sardoine, la chrysolithe, le béryl, la topaze, la chrysoprase, l’hyacinthe et l’améthyste. Partant de l’hypothèse que l’Apocalypse nous parle d’une réalité, et qu’il ne s’agit donc pas ici de symboles, l’auteur reprend les contenus de cette « Révélation » et aboutit à une minéralogie occulte. Dans une première partie, les grandes images de l’Apocalypse et leurs relations mutuelles sont explicitées. Puis vient une étude phénoménologique et scientifique des pierres précieuses, qui éclaire en même temps les lois spirituelles du règne minéral. Une troisième partie explore les relations de l’homme et des minéraux dans leurs métamorphoses, si bien que l’édification de la Nouvelle Jérusalem apparaît comme le processus objectif de la transmutation du monde minéral à l’aide de l’homme. La dernière partie décrit en détail les douze pierres nommées dans l’Apocalypse.
Les traditions de l’astrologie, celles de l’alchimie, les connaissances de la théologie et les recherches de la science moderne sont réunies ici en une synopse prodigieuse qui propose une approche fondamentalement nouvelle de la minéralogie.
Le dernier livre de la Bible, l’Apocalypse (« Révélation »), ne s’achève pas sur une destruction mais sur une construction, celle de la « Nouvelle Jérusalem ». Les fondements de la ville céleste sont ornés de douze pierres précieuses : le jaspe, le saphir, la calcédoine, l’émeraude, la sardonyx, la sardoine, la chrysolithe, le béryl, la topaze, la chrysoprase, l’hyacinthe et l’améthyste. Partant de l’hypothèse que l’Apocalypse nous parle d’une réalité, et qu’il ne s’agit donc pas ici de symboles, l’auteur reprend les contenus de cette « Révélation » et aboutit à une minéralogie occulte. Dans une première partie, les grandes images de l’Apocalypse et leurs relations mutuelles sont explicitées. Puis vient une étude phénoménologique et scientifique des pierres précieuses, qui éclaire en même temps les lois spirituelles du règne minéral. Une troisième partie explore les relations de l’homme et des minéraux dans leurs métamorphoses, si bien que l’édification de la Nouvelle Jérusalem apparaît comme le processus objectif de la transmutation du monde minéral à l’aide de l’homme. La dernière partie décrit en détail les douze pierres nommées dans l’Apocalypse.
Les traditions de l’astrologie, celles de l’alchimie, les connaissances de la théologie et les recherches de la science moderne sont réunies ici en une synopse prodigieuse qui propose une approche fondamentalement nouvelle de la minéralogie.