
		Cette étude pose la question de savoir si la tradition herméticoalchimique                                  peut être perçue comme relevant de la philosophie                                  classique, même si elle apparaît comme son image inversée.
 Ne prétendant pas résoudre le problème, l’auteur se borne à le poser                                 en commentant les auteurs qui se sont penchés sur la question.
 Aussi ce travail n’est-il pas une thèse : plus modestement, il se propose                                 de présenter les principaux aspects de la doctrine d’Hermès Trismégiste                                 et de son corollaire, l’alchimie. Ce faisant, il les passe au crible de la                                  réflexion philosophique.
 Chapitre après chapitre, Jacques Fabry présente la légende homérique                                d’Hermès enfant, puis expose l’enseignement de celui qui est devenu,
 au cours des siècles, la fi gure emblématique  d’Hermès Trismégiste.
 Evoquant son rayonnement et son infl uence sur la pensée occidentale,                                il rappelle les grandes figures historiques qui ont intégré dans leur pensée
 l’essentiel de l’enseignement hermétique. Il commente notamment                                l’idée exposée par Ralf Liedtke selon laquelle l’Hermétisme serait
 « une philosophie traditionnelle de la différence ». L’auteur présente                               également l’alchimie comme la réalisation  concrète des principes                                hermétiques et étudie l’oeuvre de  régénération spirituelle attachée
 à l’alchimie. Il souligne ici combien le Grand OEuvre s’inscrit dans                               la perspective goethéenne de l’amour  universel de toute vie prônée                               par la tradition hermétique. Dans cette  optique, cet essai est à regarder                              à la fois  comme une réflexion philosophique et un parcours initiatique.

Cette étude pose la question de savoir si la tradition herméticoalchimique                                  peut être perçue comme relevant de la philosophie                                  classique, même si elle apparaît comme son image inversée.
 Ne prétendant pas résoudre le problème, l’auteur se borne à le poser                                 en commentant les auteurs qui se sont penchés sur la question.
 Aussi ce travail n’est-il pas une thèse : plus modestement, il se propose                                 de présenter les principaux aspects de la doctrine d’Hermès Trismégiste                                 et de son corollaire, l’alchimie. Ce faisant, il les passe au crible de la                                  réflexion philosophique.
 Chapitre après chapitre, Jacques Fabry présente la légende homérique                                d’Hermès enfant, puis expose l’enseignement de celui qui est devenu,
 au cours des siècles, la fi gure emblématique  d’Hermès Trismégiste.
 Evoquant son rayonnement et son infl uence sur la pensée occidentale,                                il rappelle les grandes figures historiques qui ont intégré dans leur pensée
 l’essentiel de l’enseignement hermétique. Il commente notamment                                l’idée exposée par Ralf Liedtke selon laquelle l’Hermétisme serait
 « une philosophie traditionnelle de la différence ». L’auteur présente                               également l’alchimie comme la réalisation  concrète des principes                                hermétiques et étudie l’oeuvre de  régénération spirituelle attachée
 à l’alchimie. Il souligne ici combien le Grand OEuvre s’inscrit dans                               la perspective goethéenne de l’amour  universel de toute vie prônée                               par la tradition hermétique. Dans cette  optique, cet essai est à regarder                              à la fois  comme une réflexion philosophique et un parcours initiatique.
