Que l’amour et la chasteté soient des expériences intéressant le domaine spirituel, chacun peut le percevoir. Que le sexe y soit associé est inhabituel ? on le tait… chastement, on le « dépasse » par l’amour. Il fallait l’origisnalité et la liberté de Krishnamurti pour éclairer ces trois expériences sous la même lumière spirituelle.
Le nœud de toute société tient dans la relation la plus élémentaire : le couple. Or la question de l’amour s’y pose autant que celle du sexe. Loin de le diaboliser, Krishnamurti le soumet alors à l’analyse : il ne s’agit pas de nier toute pulsion sexuelle, mais d’éviter que son assouvissement tourne à un rapport de domination ou à une obsession. Autrement dit, qu’il permette à l’amour de s’exprimer pleinement et n’entrave pas la liberté.
La liberté est le cœur, et le but. Ainsi l’amour n’est ni dépendance affective, ni désir, ni mariage mais suppose la responsabilité entre ceux qui s’aiment, partenaire, enfants, voisin, société... De même, la chasteté ne devrait pas être une question de contrainte mais de contexte, libre de son idéalisation par la pensée. Car c’est la pensée qui est à l’origine de nos clivages. Réaliser cela offre un accès à la perception directe de ce qui est. Et c’est dans le silence de cette « conscience sans choix » qui ne juge ni ne condamne que jaillit l’amour.
Que l’amour et la chasteté soient des expériences intéressant le domaine spirituel, chacun peut le percevoir. Que le sexe y soit associé est inhabituel ? on le tait… chastement, on le « dépasse » par l’amour. Il fallait l’origisnalité et la liberté de Krishnamurti pour éclairer ces trois expériences sous la même lumière spirituelle.
Le nœud de toute société tient dans la relation la plus élémentaire : le couple. Or la question de l’amour s’y pose autant que celle du sexe. Loin de le diaboliser, Krishnamurti le soumet alors à l’analyse : il ne s’agit pas de nier toute pulsion sexuelle, mais d’éviter que son assouvissement tourne à un rapport de domination ou à une obsession. Autrement dit, qu’il permette à l’amour de s’exprimer pleinement et n’entrave pas la liberté.
La liberté est le cœur, et le but. Ainsi l’amour n’est ni dépendance affective, ni désir, ni mariage mais suppose la responsabilité entre ceux qui s’aiment, partenaire, enfants, voisin, société... De même, la chasteté ne devrait pas être une question de contrainte mais de contexte, libre de son idéalisation par la pensée. Car c’est la pensée qui est à l’origine de nos clivages. Réaliser cela offre un accès à la perception directe de ce qui est. Et c’est dans le silence de cette « conscience sans choix » qui ne juge ni ne condamne que jaillit l’amour.