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Écrits Saint-Martinistes

Auteur : VIVENZA Jean-Marc
Editeur : PIERRE PHILOSOPHALE Editions
Nombre de pages : 407
Date de parution : 08/12/2021
Forme : Livre ISBN : 9782363531285
9782363531285

NEUF Normalement disponible sur commande
Prix : 34.50€

« Comme mon affaire est et doit être toute divine, et que Dieu est un Dieu jaloux,
tout la gêne de ce qui n´est pas Lui.... »
(L.-C. de Saint-Martin, Portrait, § 995).
Les études présentées et réunies ici en un seul volume sous le titre « Écrits Saint-Martinistes », depuis longtemps devenues inaccessibles et quasi introuvables, occupent une place importante dans l´entreprise de remise en lumière et la redécouverte des thèses « théosophiques » et positions « illuministes » spécifiques du Philosophe Inconnu, thèses et positions entourées, hélas depuis de nombreuses décennies, d´un voile opaque dans la plupart des courants se réclamant, bien à tort le plus souvent, du « martinisme », voile constitué d´un hétéroclite mélange fait d´occultisme, d´art divinatoire, d´hermétisme, d´astrologie, de kabbale, voire de « théurgie » - ce qui évidemment ne manque pas d´être pour le moins paradoxal lorsqu´on connaît les positions critiques et la vive hostilité de Louis-Claude de Saint-Martin vis-à-vis des procédés utilisés lors des « opérations » enseignées et proposées à ses émules par Martinès de Pasqually pour obtenir la « réconciliation » des âmes -, voile empêchant par ailleurs un accès direct à la pensée authentique de l´auteur du « Ministère de l´homme-esprit ».
Ainsi, dans les « écrits saint-martinistes » figurant dans ce livre, sont exposés les éléments précis portant sur la nature de la « Sophia », de même que ceux touchant à la « vie intérieure » de prière et d´oraison, selon ce que Saint-Martin préconisa comme seule et unique méthode véritable pour atteindre les régions célestes et entrer en communion avec la « Cause active et intelligente », en s´éloignant, et se détournant des procédés qu´il qualifia, à juste raison, « d´externes », incapables par leur industrie pesante et leur dépendance à l´égard de la matière et de ses manifestations illusoires, de réaliser la « grande affaire » selon l´expression qu´il employa à de nombreuses occasions pour signifier ce dont il est question de façon ultime pour l´âme de désir en quête de sa rencontre intime et secrète avec l´essentiel transcendant.


« Comme mon affaire est et doit être toute divine, et que Dieu est un Dieu jaloux,
tout la gêne de ce qui n´est pas Lui.... »
(L.-C. de Saint-Martin, Portrait, § 995).
Les études présentées et réunies ici en un seul volume sous le titre « Écrits Saint-Martinistes », depuis longtemps devenues inaccessibles et quasi introuvables, occupent une place importante dans l´entreprise de remise en lumière et la redécouverte des thèses « théosophiques » et positions « illuministes » spécifiques du Philosophe Inconnu, thèses et positions entourées, hélas depuis de nombreuses décennies, d´un voile opaque dans la plupart des courants se réclamant, bien à tort le plus souvent, du « martinisme », voile constitué d´un hétéroclite mélange fait d´occultisme, d´art divinatoire, d´hermétisme, d´astrologie, de kabbale, voire de « théurgie » - ce qui évidemment ne manque pas d´être pour le moins paradoxal lorsqu´on connaît les positions critiques et la vive hostilité de Louis-Claude de Saint-Martin vis-à-vis des procédés utilisés lors des « opérations » enseignées et proposées à ses émules par Martinès de Pasqually pour obtenir la « réconciliation » des âmes -, voile empêchant par ailleurs un accès direct à la pensée authentique de l´auteur du « Ministère de l´homme-esprit ».
Ainsi, dans les « écrits saint-martinistes » figurant dans ce livre, sont exposés les éléments précis portant sur la nature de la « Sophia », de même que ceux touchant à la « vie intérieure » de prière et d´oraison, selon ce que Saint-Martin préconisa comme seule et unique méthode véritable pour atteindre les régions célestes et entrer en communion avec la « Cause active et intelligente », en s´éloignant, et se détournant des procédés qu´il qualifia, à juste raison, « d´externes », incapables par leur industrie pesante et leur dépendance à l´égard de la matière et de ses manifestations illusoires, de réaliser la « grande affaire » selon l´expression qu´il employa à de nombreuses occasions pour signifier ce dont il est question de façon ultime pour l´âme de désir en quête de sa rencontre intime et secrète avec l´essentiel transcendant.