Il a fallu vingt et une années à Georges Courts pour donner à ses lecteurs assidus - entre les premiers folios du Grand Manuscrit d’Alger décryptés par l’auteur à partir des documents d’archives, (en 1996), et l’édition entièrement finalisée de ce troisième opus du Grand Manuscrit d’Alger, (publié en 2017) - une vérité tangible qui concerne assurément le Grand Œuvre de Martinès de Pasqually. Autant dire, comme l’indique parfaitement Rémi Boyer dans ses différentes préfaces, qu’il s’agit bien-là d’un « événement éditorial » incontournable. Ce « Grand Œuvre », comme nous le nommons ici, concerne avant tout la réunion exhaustive d’un corpus de textes absolument essentiels pour qui s’intéresse aux Ordres initiatiques, et principalement aux Chevaliers Maçons Élus Coën, mais se rapporte aussi à une praxis avérée, véhiculée au moins depuis le XVIIIe siècle, concernant à la fois une Spiritualité non équivoque et une Théurgie sacerdotale mettant en évidence une Initiation Supérieure. Si le premier tome du Grand Manuscrit d’Alger publié par Georges Courts, aux éditions Arqa en 2009, fit grand bruit, laissant au passage sur les bas-côtés les masques jaloux de quelques uns qui se crurent obligés de se ridiculiser ; le tome second (publié en 2013) assura à Georges Courts une reconnaissance naturelle et bienveillante de la part de tous ses lecteurs, dont de nombreux au-delà des mers, en terres sud-américaines notamment, et partout en Europe, du Nord au Sud, bien que l’édition résidât au premier chef en seule langue française. Avec ce troisième tome, si attendu, publié à nouveau quatre années plus tard, pour un cycle de huit années de publications, se parachève une œuvre littéraire et initiatique magistrale que Georges Courts aura portée au pinacle du Temple et de la Tradition pérenne. Enfin couronnée, cette haute architecture de lettres, de signes, de glyphes et de chiffres, soit en totalité trois tomes - grand format in-quarto - de plus de 1 200 pages de présentations complètes de documents d’archives, de transcriptions de manuscrits anciens, d’alphabets secrets et de carrés magiques, n’aura pour seul commandement que de simplement revenir à son point de départ, c’est-à-dire à la source, pour mieux revisiter encore, en profondeur, l’intransigeante plénitude de l’héritage confidentiel de Martinès de Pasqually…
Il a fallu vingt et une années à Georges Courts pour donner à ses lecteurs assidus - entre les premiers folios du Grand Manuscrit d’Alger décryptés par l’auteur à partir des documents d’archives, (en 1996), et l’édition entièrement finalisée de ce troisième opus du Grand Manuscrit d’Alger, (publié en 2017) - une vérité tangible qui concerne assurément le Grand Œuvre de Martinès de Pasqually. Autant dire, comme l’indique parfaitement Rémi Boyer dans ses différentes préfaces, qu’il s’agit bien-là d’un « événement éditorial » incontournable. Ce « Grand Œuvre », comme nous le nommons ici, concerne avant tout la réunion exhaustive d’un corpus de textes absolument essentiels pour qui s’intéresse aux Ordres initiatiques, et principalement aux Chevaliers Maçons Élus Coën, mais se rapporte aussi à une praxis avérée, véhiculée au moins depuis le XVIIIe siècle, concernant à la fois une Spiritualité non équivoque et une Théurgie sacerdotale mettant en évidence une Initiation Supérieure. Si le premier tome du Grand Manuscrit d’Alger publié par Georges Courts, aux éditions Arqa en 2009, fit grand bruit, laissant au passage sur les bas-côtés les masques jaloux de quelques uns qui se crurent obligés de se ridiculiser ; le tome second (publié en 2013) assura à Georges Courts une reconnaissance naturelle et bienveillante de la part de tous ses lecteurs, dont de nombreux au-delà des mers, en terres sud-américaines notamment, et partout en Europe, du Nord au Sud, bien que l’édition résidât au premier chef en seule langue française. Avec ce troisième tome, si attendu, publié à nouveau quatre années plus tard, pour un cycle de huit années de publications, se parachève une œuvre littéraire et initiatique magistrale que Georges Courts aura portée au pinacle du Temple et de la Tradition pérenne. Enfin couronnée, cette haute architecture de lettres, de signes, de glyphes et de chiffres, soit en totalité trois tomes - grand format in-quarto - de plus de 1 200 pages de présentations complètes de documents d’archives, de transcriptions de manuscrits anciens, d’alphabets secrets et de carrés magiques, n’aura pour seul commandement que de simplement revenir à son point de départ, c’est-à-dire à la source, pour mieux revisiter encore, en profondeur, l’intransigeante plénitude de l’héritage confidentiel de Martinès de Pasqually…