
		Ce petit livre, qui se fonde sur la science de l’esprit  développée par Rudolf Steiner, traite sous forme aphoristique des cinq  événements spirituels les plus importants depuis le début de l’ère  michaélique en 1879. 
Ces cinq événements sont  : l’accession de l’archange Michaël à la  fonction d’esprit du temps (1879), la fin de l’ère des ténèbres ou Kali  Yuga (1899), la réapparition du Christ dans l’éthérique (1933),  l’attaque de Sorat, le démon solaire (1998), et enfin l’incarnation  d’Ahriman, l’esprit de l’intellectualité et du mensonge, aujourd’hui. 
Tous ces événements placent l’humanité devant la tâche fondamentale  de notre civilisation  : la confrontation avec le mal par les forces de  connaissance. Quels hommes sont actuellement préparés à s’attaquer à cette tâche  ?  Les phénomènes du mal nous entourent quotidiennement, mais cela  suffit-il pour que nous les connaissions. Comment le mal se situe-t-il  par rapport à une «  bonne  » direction du monde, si celle-ci existe  ?  Quels rôles jouent Michaël et l’impulsion du Christ dans cette  confrontation avec les forces du mal  ?
« Notre civilisation, comme emportée par une tempête démoniaque, menace de s’effondrer. Songeons au célèbre tableau du retable d’Isenheim sur lequel Matthias Grünewald a peint la Tentation de saint Antoine. Aujourd’hui, toute âme en quête d’une connaissance spirituelle qui soit à la mesure du présent ne doit-elle pas passer par les mêmes affres qu’Antoine ? Faire appel aux formes de croyance traditionnelles ne calmera nullement la tempête. La seule “bonne volonté” ne suffira pas davantage, à moins que cette bonne volonté ne s’attelle fermement à la connaissance sans réserve. Or celle-ci ne peut provenir que d’une observation sans œillères du monde, pour laquelle l’histoire ne se limite pas à la « fable convenue » que Napoléon, à juste titre, voyait en elle. »

Ce petit livre, qui se fonde sur la science de l’esprit  développée par Rudolf Steiner, traite sous forme aphoristique des cinq  événements spirituels les plus importants depuis le début de l’ère  michaélique en 1879. 
Ces cinq événements sont  : l’accession de l’archange Michaël à la  fonction d’esprit du temps (1879), la fin de l’ère des ténèbres ou Kali  Yuga (1899), la réapparition du Christ dans l’éthérique (1933),  l’attaque de Sorat, le démon solaire (1998), et enfin l’incarnation  d’Ahriman, l’esprit de l’intellectualité et du mensonge, aujourd’hui. 
Tous ces événements placent l’humanité devant la tâche fondamentale  de notre civilisation  : la confrontation avec le mal par les forces de  connaissance. Quels hommes sont actuellement préparés à s’attaquer à cette tâche  ?  Les phénomènes du mal nous entourent quotidiennement, mais cela  suffit-il pour que nous les connaissions. Comment le mal se situe-t-il  par rapport à une «  bonne  » direction du monde, si celle-ci existe  ?  Quels rôles jouent Michaël et l’impulsion du Christ dans cette  confrontation avec les forces du mal  ?
« Notre civilisation, comme emportée par une tempête démoniaque, menace de s’effondrer. Songeons au célèbre tableau du retable d’Isenheim sur lequel Matthias Grünewald a peint la Tentation de saint Antoine. Aujourd’hui, toute âme en quête d’une connaissance spirituelle qui soit à la mesure du présent ne doit-elle pas passer par les mêmes affres qu’Antoine ? Faire appel aux formes de croyance traditionnelles ne calmera nullement la tempête. La seule “bonne volonté” ne suffira pas davantage, à moins que cette bonne volonté ne s’attelle fermement à la connaissance sans réserve. Or celle-ci ne peut provenir que d’une observation sans œillères du monde, pour laquelle l’histoire ne se limite pas à la « fable convenue » que Napoléon, à juste titre, voyait en elle. »
