CONNEXION perm_identity Panier vide shopping_cart
LEVEILLARD Daniel Le grand dérangement ou la part de fable dans l´histoire Librairie Eklectic

Le grand dérangement ou la part de fable dans l´histoire

Auteur : LEVEILLARD Daniel
Editeur : COURTEAU Louise
Nombre de pages : 507
Date de parution : 01/12/2011
Forme : Livre ISBN : 9782892393408
COURT79

NEUF habituellement en stock
Prix : 25.00€

Le but de l´école laïque n´est pas d´apprendre à lire, à écrire et à compter, c´est de former des libres penseurs. L´école laïque est un moule où l´on confie un fils de chrétien et d´où il ressort un renégat. Ces paroles de l´inspecteur d´Académie Dequaire-Brohel, au convent maçonnique de 1896, rejoint l´idée maîtresse de Jules Ferry, au convent de 1891, nous voulons organiser l´humanité sans rois et sans Dieu, confirmée par Jules Viviani, lors de son discours du 8 novembre 1906, en instituant l´enseignement obligatoire, nous nous sommes attachés à une oeuvre d´irréligion. Voilà qui est clair, mais quoi d´étonnant dès lors, que l´Histoire de France académique ne soit systématiquement déformée, dans le sens de la haine des rois et de la négation de Dieu?
Que ce soit Jules César, à propos de sa Guerre des Gaules, ou Charlemagne « qui a inventé l´école » pour les chevaliers, obligés d´apprendre « comment s´est fait la France », de tout temps, sur le canevas de faits bien réels, princes et chroniqueurs ont brodé une histoire fabuleuse. C´est en travaillant sur la question de l´Église, où les évêques n´ont jamais hésité non plus à broder des légendes, que Daniel Leveillard a relevé des falsifications quant à l´Histoire réelle.
Dans cet ouvrage, l´auteur traite de Christophe Colomb, le dernier des Croisés; du Saint Suaire, du Précieux Sang; de Louis XVI, martyr pour la cause de la foi, mais également de l´« apocalypse écologique », de géopolitique confessionnelle, de la Prophétie du Saint Pape et du Grand Monarque, et même, à commencer, par la tradition du Poisson d´avril où la farce prévaut.
Ainsi voit-on comment, en permanence, se mêlent le réel et la fiction, d´où le sous-titre : « La part de fable dans l´Histoire ». Un livre de nature à déranger, sûrement, surtout peut-être le dernier chapitre où l´auteur adresse une lettre au pape Benoît XVI!...
Et si l´Église chrétienne, assurément moribonde comme on le crie assez au regard de ses églises vides, n´était au contraire en train de renaître, belle comme au premier jour? À la phrase emblématique de la Troisième République, Du passé, faisons table rase!, c´est l´historien qui répond : Qui ne connaît son passé, ne peut être maître de son avenir!


Le but de l´école laïque n´est pas d´apprendre à lire, à écrire et à compter, c´est de former des libres penseurs. L´école laïque est un moule où l´on confie un fils de chrétien et d´où il ressort un renégat. Ces paroles de l´inspecteur d´Académie Dequaire-Brohel, au convent maçonnique de 1896, rejoint l´idée maîtresse de Jules Ferry, au convent de 1891, nous voulons organiser l´humanité sans rois et sans Dieu, confirmée par Jules Viviani, lors de son discours du 8 novembre 1906, en instituant l´enseignement obligatoire, nous nous sommes attachés à une oeuvre d´irréligion. Voilà qui est clair, mais quoi d´étonnant dès lors, que l´Histoire de France académique ne soit systématiquement déformée, dans le sens de la haine des rois et de la négation de Dieu?
Que ce soit Jules César, à propos de sa Guerre des Gaules, ou Charlemagne « qui a inventé l´école » pour les chevaliers, obligés d´apprendre « comment s´est fait la France », de tout temps, sur le canevas de faits bien réels, princes et chroniqueurs ont brodé une histoire fabuleuse. C´est en travaillant sur la question de l´Église, où les évêques n´ont jamais hésité non plus à broder des légendes, que Daniel Leveillard a relevé des falsifications quant à l´Histoire réelle.
Dans cet ouvrage, l´auteur traite de Christophe Colomb, le dernier des Croisés; du Saint Suaire, du Précieux Sang; de Louis XVI, martyr pour la cause de la foi, mais également de l´« apocalypse écologique », de géopolitique confessionnelle, de la Prophétie du Saint Pape et du Grand Monarque, et même, à commencer, par la tradition du Poisson d´avril où la farce prévaut.
Ainsi voit-on comment, en permanence, se mêlent le réel et la fiction, d´où le sous-titre : « La part de fable dans l´Histoire ». Un livre de nature à déranger, sûrement, surtout peut-être le dernier chapitre où l´auteur adresse une lettre au pape Benoît XVI!...
Et si l´Église chrétienne, assurément moribonde comme on le crie assez au regard de ses églises vides, n´était au contraire en train de renaître, belle comme au premier jour? À la phrase emblématique de la Troisième République, Du passé, faisons table rase!, c´est l´historien qui répond : Qui ne connaît son passé, ne peut être maître de son avenir!