Ces 16 conférences furent faites par Steiner tout au long de l’année 1911, du 5 janvier au 26 décembre, dans différentes villes allemandes. C’est dire qu’elles ne constituent pas un cycle continu ; chacune forme au contraire une unité, une graine confiée par Steiner aux communautés qui l’avaient invité dans une Branche de la Société Théosophique qui allait peu après devenir la Société Anthroposophique. Ainsi s’explique la densité de chacune de ces conférences où est concentré un contenu qui aurait pu donner matière à plusieurs conférences. En outre, elles reposent sur les notes prises par les auditeurs et cela accentue la participation prise par l’auditoire à la formulation des conférences. Une grande diversité les caractérise, mais elles reflètent les préoccupations de Steiner à cette époque. En relation avec l’annonce qu’il avait faite de la venue du Christ sur le plan éthérique, il aborde les problèmes de l’âme et de sa responsabilité dans l’histoire de la Terre : la moralité, le karma, la foi, l’espérance, le péché originel et la grâce... Il apporte également des éclairages précieux sur certains sujets comme le celtisme, l’imagination créatrice ou « fantaisie » dans le conte ou sur la convergence de la science de l’esprit et de la science tout court. Surtout il insiste sur la responsabilité de l’homme moderne qui ne doit pas négliger l’appel que lui lance le monde spirituel pour agir, afin que l’humanité puisse continuer son évolution.
Ces 16 conférences furent faites par Steiner tout au long de l’année 1911, du 5 janvier au 26 décembre, dans différentes villes allemandes. C’est dire qu’elles ne constituent pas un cycle continu ; chacune forme au contraire une unité, une graine confiée par Steiner aux communautés qui l’avaient invité dans une Branche de la Société Théosophique qui allait peu après devenir la Société Anthroposophique. Ainsi s’explique la densité de chacune de ces conférences où est concentré un contenu qui aurait pu donner matière à plusieurs conférences. En outre, elles reposent sur les notes prises par les auditeurs et cela accentue la participation prise par l’auditoire à la formulation des conférences. Une grande diversité les caractérise, mais elles reflètent les préoccupations de Steiner à cette époque. En relation avec l’annonce qu’il avait faite de la venue du Christ sur le plan éthérique, il aborde les problèmes de l’âme et de sa responsabilité dans l’histoire de la Terre : la moralité, le karma, la foi, l’espérance, le péché originel et la grâce... Il apporte également des éclairages précieux sur certains sujets comme le celtisme, l’imagination créatrice ou « fantaisie » dans le conte ou sur la convergence de la science de l’esprit et de la science tout court. Surtout il insiste sur la responsabilité de l’homme moderne qui ne doit pas négliger l’appel que lui lance le monde spirituel pour agir, afin que l’humanité puisse continuer son évolution.