Ce livre est la première édition en français d´un ouvrage paru en chinois en 1934 et écrit par le patriarche en exercice de l´école Yang de taïchi-chuan (taijiquan), YANG Cheng-fu, à l´apogée de son art : Taijiquan Tiyong Quanshu (Essence et application du taijiquan). Cet ouvrage, écrit par le maître deux années avant sa mort, est un ouvrage fondamental pour le taïchi-chuan car il est l´un des rares à montrer un grand maître héritier dans sa pratique du taïchi-chuan bien avant la modernisation de la discipline.
Paradoxalement et malgré la popularité du taïchi-chuan à l’Ouest, seuls quelques pratiquants enthousiastes ont eu accès au contenu de ce livre fondateur… et il y a un certain nombre de raisons à cela : la difficulté à le traduire dans la mesure où la version originale en chinois est écrit dans un style à la fois élagué et ramassé, une présentation éloignée du langage courant ou des écrits
vernaculaires, avec de fréquentes tournures de phrase classiques ou littéraires qui demeurent obscures à celui qui n’en a pas la fréquentation ou qui n’est pas en mesure d’en détecter la source… À ce titre le travail du traducteur Louis Swaim est remarquable.
Un ouvrage qui concerne tous les amateurs de taïchi-chuan, aussi connue sous le nom de «gymnastique chinoise», qu´il s´agisse d´amateurs novices curieux d´en savoir plus sur le glorieux passé de son art ou du professionnel à la recherche du sens profond de sa discipline.
Ce livre est la première édition en français d´un ouvrage paru en chinois en 1934 et écrit par le patriarche en exercice de l´école Yang de taïchi-chuan (taijiquan), YANG Cheng-fu, à l´apogée de son art : Taijiquan Tiyong Quanshu (Essence et application du taijiquan). Cet ouvrage, écrit par le maître deux années avant sa mort, est un ouvrage fondamental pour le taïchi-chuan car il est l´un des rares à montrer un grand maître héritier dans sa pratique du taïchi-chuan bien avant la modernisation de la discipline.
Paradoxalement et malgré la popularité du taïchi-chuan à l’Ouest, seuls quelques pratiquants enthousiastes ont eu accès au contenu de ce livre fondateur… et il y a un certain nombre de raisons à cela : la difficulté à le traduire dans la mesure où la version originale en chinois est écrit dans un style à la fois élagué et ramassé, une présentation éloignée du langage courant ou des écrits
vernaculaires, avec de fréquentes tournures de phrase classiques ou littéraires qui demeurent obscures à celui qui n’en a pas la fréquentation ou qui n’est pas en mesure d’en détecter la source… À ce titre le travail du traducteur Louis Swaim est remarquable.
Un ouvrage qui concerne tous les amateurs de taïchi-chuan, aussi connue sous le nom de «gymnastique chinoise», qu´il s´agisse d´amateurs novices curieux d´en savoir plus sur le glorieux passé de son art ou du professionnel à la recherche du sens profond de sa discipline.