La publication du manuscrit Tarade (1761‑1776), jusqu’ici inédit, offre au maçon du XXIe siècle un document de réflexion et d’étude pour s’approprier un patrimoine exceptionnel et répond au désir actuel de découvrir et d’étudier les anciens rituels. Intégralement reproduit avec sa transcription accompagnée de commentaires, il retrace la vie de la loge parisienne Saint Théodore de la Sincérité, probable loge de musiciens, et donne un tableau très complet des grades pratiqués pendant une période clef de l’histoire maçonnique où les différentes obédiences se mettent en place.
Succédant aux trois premiers grades, les rituels de « la maçonnerie pour les Dames » sont présentés et augmentés d’un quatrième grade d’Écossaise « inventé par le Frère Lachaussée ». Huit rituels de hauts grades sont décrits dans une version souvent archaïsante, passionnants pour l’étude de leur mise en place. S’y ajoute le dévoilement de douze grades trinitaires, mouvance si particulière et surprenante pour nombre de maçons contemporains.
La publication du manuscrit Tarade (1761‑1776), jusqu’ici inédit, offre au maçon du XXIe siècle un document de réflexion et d’étude pour s’approprier un patrimoine exceptionnel et répond au désir actuel de découvrir et d’étudier les anciens rituels. Intégralement reproduit avec sa transcription accompagnée de commentaires, il retrace la vie de la loge parisienne Saint Théodore de la Sincérité, probable loge de musiciens, et donne un tableau très complet des grades pratiqués pendant une période clef de l’histoire maçonnique où les différentes obédiences se mettent en place.
Succédant aux trois premiers grades, les rituels de « la maçonnerie pour les Dames » sont présentés et augmentés d’un quatrième grade d’Écossaise « inventé par le Frère Lachaussée ». Huit rituels de hauts grades sont décrits dans une version souvent archaïsante, passionnants pour l’étude de leur mise en place. S’y ajoute le dévoilement de douze grades trinitaires, mouvance si particulière et surprenante pour nombre de maçons contemporains.