Enigmes du monde et anthroposophie (GA 54 - 2è édition)
De 1903 à 1918, Rudolf Steiner venait régulièrement à Berlin pour y donner des conférences devant un large public à la Maison des Architectes. Comme il y avait chaque fois de nouveaux auditeurs, il reposait systématiquement les bases de la science de l’esprit en traitant toutes sortes de sujets scientifiques, politiques, artistiques, historiques, etc.
« Dans la vie commune sociale, la motivation pour le travail ne devrait pas se trouver dans la propre personnalité de l’être humain, mais uniquement dans le fait que celui-ci se consacre à la communauté. […] La misère et la détresse viennent de l’exigence qu’a l’individu de recevoir pour lui-même le salaire de son travail. Ce qui est vrai, c’est que le véritable progrès social n’est possible que si j’accomplis mon travail au service de la communauté et que la communauté me donne ce dont j’ai besoin. […] L’individu ne doit pas vouloir le produit de son travail sous forme d’une rémunération personnelle. […] Le motif qui le pousse à travailler avec beaucoup de zèle ne sera plus alors le profit personnel, mais l’amour, l’amour pour l’humanité tout entière. […] Or aujourd’hui, notre vie est placée sous le signe opposé : chacun veut revendiquer de plus en plus la totalité du produit de son travail. Tant que la pensée se mouvra dans cette direction, on se dirigera vers des situations de plus en plus catastrophiques. »
Au Sommaire
– Haeckel et les énigmes du monde – La question sociale : travail et salaire, rôle des machines, etc. – La question du féminisme – Le noyau de sagesse dans les diverses religions du monde – La méditation et le développement intérieur – Qui est Lucifer ? – Les mythologies germanique et indienne – Siegfried et le Crépuscule des dieux – Parsifal et Lohengrin – La fête de Pâques – Parcelse et l’alchimie – Jakob Böhme, un des plus grands mages de tous les temps
De 1903 à 1918, Rudolf Steiner venait régulièrement à Berlin pour y donner des conférences devant un large public à la Maison des Architectes. Comme il y avait chaque fois de nouveaux auditeurs, il reposait systématiquement les bases de la science de l’esprit en traitant toutes sortes de sujets scientifiques, politiques, artistiques, historiques, etc.
« Dans la vie commune sociale, la motivation pour le travail ne devrait pas se trouver dans la propre personnalité de l’être humain, mais uniquement dans le fait que celui-ci se consacre à la communauté. […] La misère et la détresse viennent de l’exigence qu’a l’individu de recevoir pour lui-même le salaire de son travail. Ce qui est vrai, c’est que le véritable progrès social n’est possible que si j’accomplis mon travail au service de la communauté et que la communauté me donne ce dont j’ai besoin. […] L’individu ne doit pas vouloir le produit de son travail sous forme d’une rémunération personnelle. […] Le motif qui le pousse à travailler avec beaucoup de zèle ne sera plus alors le profit personnel, mais l’amour, l’amour pour l’humanité tout entière. […] Or aujourd’hui, notre vie est placée sous le signe opposé : chacun veut revendiquer de plus en plus la totalité du produit de son travail. Tant que la pensée se mouvra dans cette direction, on se dirigera vers des situations de plus en plus catastrophiques. »
Au Sommaire
– Haeckel et les énigmes du monde – La question sociale : travail et salaire, rôle des machines, etc. – La question du féminisme – Le noyau de sagesse dans les diverses religions du monde – La méditation et le développement intérieur – Qui est Lucifer ? – Les mythologies germanique et indienne – Siegfried et le Crépuscule des dieux – Parsifal et Lohengrin – La fête de Pâques – Parcelse et l’alchimie – Jakob Böhme, un des plus grands mages de tous les temps