Sahajananda (Frère John Martin), né en 1955, a été l’un des plus proches disciples du Père Bede Griffiths qui a fortement influencé sa vision du Christ et du Christianisme.
En 1984 il quitte son diocèse et rejoint la communauté de Shantivanam pour y vivre en moine bénédictin auprès du Père Bede Griffiths. Shantivanam appartient à la Congrégation des Camaldules rattachée à l’Ordre de Saint Benoit.
Sahajananda est licencié en Spiritualité de l’Université Grégorienne de Rome. Il est aujourd’hui l’un des directeurs spirituels de
l’ashram. Il se passionne pour le dialogue interreligieux, en particulier entre Hindouisme et Christianisme. Il enseigne la spiritualité « indo-chrétienne » aux visiteurs de l’ashram. C’est une forme de spiritualité qui souligne les éléments unificateurs parmi les religions et aussi le caractère unique de chaque tradition spirituelle. Mais qui s’ouvre également vers une spiritualité qui va au-delà des frontières religieuses habituelles. Frère John Martin perpétue ainsi l’œuvre théologique et philosophique initiée par Henri Le Saux et Jules Monchanin.
Sahajananda (Frère John Martin), né en 1955, a été l’un des plus proches disciples du Père Bede Griffiths qui a fortement influencé sa vision du Christ et du Christianisme.
En 1984 il quitte son diocèse et rejoint la communauté de Shantivanam pour y vivre en moine bénédictin auprès du Père Bede Griffiths. Shantivanam appartient à la Congrégation des Camaldules rattachée à l’Ordre de Saint Benoit.
Sahajananda est licencié en Spiritualité de l’Université Grégorienne de Rome. Il est aujourd’hui l’un des directeurs spirituels de
l’ashram. Il se passionne pour le dialogue interreligieux, en particulier entre Hindouisme et Christianisme. Il enseigne la spiritualité « indo-chrétienne » aux visiteurs de l’ashram. C’est une forme de spiritualité qui souligne les éléments unificateurs parmi les religions et aussi le caractère unique de chaque tradition spirituelle. Mais qui s’ouvre également vers une spiritualité qui va au-delà des frontières religieuses habituelles. Frère John Martin perpétue ainsi l’œuvre théologique et philosophique initiée par Henri Le Saux et Jules Monchanin.